Une
biotechnologie durable contribue à la rénovation et à la réaffectation
urgentes d'un bâtiment administratif à Anvers.
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Tandis
qu'ils recherchaient de toute urgence des logements pour des sans-abri
et des salles de classe pour l'enseignement pour adultes, les services compétents de la
ville d'Anvers ont trouvé un bâtiment municipal inoccupé à l'avenue Desguin à
Anvers. Un réaménagement conséquent s'imposait pour cet immeuble des années
1960 anciennement utilisé comme bâtiment administratif par
différents services municipaux. Ainsi a-t-on prévu en toute hâte des adaptations essentiellement d'ordre technique
telles que la rénovation des installations sanitaires, du chauffage, de l'électricité, ainsi que des
travaux de peinture et de rafraîchissement en vue de sa réaffectation.
Des mesures effectuées pour une analyse de la qualité de l'air à l'intérieur
du bâtiment ont toutefois révélé une pollution microbienne manifeste.
Inoccupé depuis environ cinq ans, l'édifice disposait seulement d'un
chauffage limité qui, conjointement avec l'infiltration d'humidité permanente, a provoqué
la prolifération spontanée de moisissures à l'intérieur.
L'entreprise biotechnologique belge BioOrg a été chargée d'assainir les lieux
rapidement et surtout de manière durable. Pour ce faire, BioOrg utilise une
technique brevetée de bioremédiation, c'est-à-dire l'introduction d'organismes naturels dans l'ensemble du
bâtiment par le biais de techniques de projection et de pulvérisation. Ces organismes
sont des bactéries inoffensives omniprésentes dans notre environnement dotées de propriétés d'assainissement naturelles. L'avantage de cette technologie réside dans sa capacité à
rétablir l'équilibre biologique à l'intérieur du bâtiment sans recourir à des
produits chimiques toxiques
et en respectant la biodiversité.
Après l'assainissement, l'entreprise de nettoyage permanent assure le
maintien d'un équilibre biologique approprié au sein du bâtiment au moyen de
l'introduction régulière desdits organismes.
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mercredi 28 novembre 2012
Des bactéries assainissent un bâtiment administratif inoccupé
vendredi 23 novembre 2012
L’Enseignement pour une nouvelle économie
L’Enseignement est une des garanties d’une économie plus prospère avec davantage de
possibilités d’emplois pour les jeunes sur les bancs de nos écoles, comme pour
les travailleurs contraints de se former à de nouveaux secteurs d’activité. L’éducation tout au long de la vie
est l’avenir d’un Enseignement
ouvert à toutes les générations. Investissons dans ces programmes. Permettons
aux jeunes de se spécialiser davantage à travers une meilleure offre de certificats, de
passerelles, de masters
complémentaires et donnons-leur enfin des bourses pour ces formations. Ouvrons
également de nouvelles possibilités pour les adultes d’entreprendre d’autres études grâce à la valorisation des acquis de l’expérience.
Un
Enseignement pour une économie renouvelée passe aussi par plus de transversalité
entre les politiques d’Enseignement obligatoire, supérieur,
de formation professionnelle
et d’emploi. Cette cohérence
est nécessaire à une meilleure insertion et réinsertion socio-professionnelle.
N’oublions pas non plus l’orientation des futurs étudiants et la promotion des
secteurs d’emploi en pénurie.
L’accessibilité reste également un enjeu
de premier ordre pour former davantage de jeunes mais cet objectif n’est pas une
fin en soi. Ne regardons pas seulement le taux de croissance du nombre d’étudiants dans le
supérieur pour juger des avancées. Considérons aussi le nombre de diplômés, le
taux d’échecs élevé en première année, les réorientations multiples, les
abandons… Nous ne pourrons évoluer vers une accessibilité de fait que si nous
menons ce combat de front avec
celui de la qualité de l’Enseignement et de l’aide à la réussite. Cela passe, en
autre, par une meilleure transition entre le secondaire et le supérieur.
Si l’Enseignement est une des réponses à la crise, il a plus que jamais
besoin d’un projet d’avenir au-delà des contingences économiques. L’éducation
doit être une politique majeure dans nos économies de plus en plus tertiaires
mais elle ne doit pas être réduite à un levier de politique macroéconomique.
C’est dans l’Enseignement qu’aboutissent et s’accroissent les inégalités
sociales. Ne négligeons pas le bénéfice social et personnel d’un enseignement
ouvert et de qualité. Il nous offre un formidable moyen d’investissement humain collectif pour
former des projets personnels tout comme des projets de société.
( Belga )
Action de contrôle annoncée à SAINT-GILLES : RESULTATS
L'Agence alimentaire publie les résultats de
l'action de contrôle "annoncée" à SAINT-GILLES.
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15 contrôleurs et inspecteurs de l'Unité provinciale
de contrôle de Bruxelles ont participé à cette action de contrôle annoncée.
L'action a eu lieu du lundi 5 novembre jusqu’au vendredi 9
novembre 2012 et 238 commerces du secteur de la distribution
actifs dans la chaîne alimentaire ont été contrôlés. La collaboration avec la
commune de St. Gilles a été excellente.
159 entreprises appartenant au secteur de l'horeca (restaurants, cafés,
friteries, cuisines de collectivités, …), 7 boulangers, 3 boucheries, 1 poissonnerie
et 67 commerces de détail (épiceries, grossistes et grandes
surfaces) ont été contrôlés, ainsi que 1 ambulant.
62 % des établissements inspectés ont présenté un contrôle favorable. 81
avertissements et 11 procès-verbaux ont été dressés.
Au total on a dû faire détruire 101 kg de denrées alimentaires, mais aucun
établissement n'a dû être fermé en raison d'un risque imminent pour la santé
publique.
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« Le Hobbit » chez Kinepolis : 48 images par seconde à partir du 12/12/12
A l'occasion de la sortie du film « Le Hobbit : Un voyage
inattendu » de Peter Jackson, Kinepolis projètera la version 3D du film au
format HFR (High Frame Rate), l'innovation cinématographique par excellence. Le
réalisateur Peter Jackson et les « early adoptors » comme le groupe
Kinepolis, pourront donc présenter « Le Hobbit » exactement comme imaginé par
Peter Jackson.
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Dernier format cinématographique en date, le HFR
permet d'afficher un nombre plus élevé d'images par seconde. Cette technologie assure une qualité 3D plus fluide
et plus nette, pour une expérience cinématographique ultraréaliste et encore
plus intense.
Pour la trilogie « The Hobbit », dont le premier volet sortira dans les salles le 12 décembre, Peter Jackson a
utilisé des caméras numériques spéciales permettant de tourner 48 images par
seconde (48 fps ou 48 ips), ce qui est deux fois plus rapide que la vitesse à laquelle nous sommes habitués depuis les années
20 (24 images par secondes).
Kinepolis fait partie du groupe très restreint de cinémas dans le monde en mesure de diffuser le format
HFR, et équipe à cet effet ses projecteurs en Belgique, en France, en Espagne et en Suisse.
Un film d'information sur la technologie HFR sera projeté dans les salles,
afin que les cinéphiles puissent choisir en connaissance de cause entre la version 3D HFR,
3D classique ou 2D traditionnelle du film « Le Hobbit : un voyage inattendu ».
( KINEPOLIS GROUP NV )
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Les thèmes de BATIBOUW 2013 dévoilés
Ce jeudi 22 novembre, exposants, partenaires et professionnels du monde de la
construction, de l’aménagement
intérieur et de la rénovation se sont réunis à Bruxelles, dans les bâtiments de FISA, pour le 17e BATIBOUW Building Lunch. Les invités
ont reçu de précieux conseils pour les aider à faire de leur participation au
salon une réussite. Ils ont aussi pu découvrir en avant-première les thèmes de
BATIBOUW 2013 : le retour à la ville, les énergies renouvelables et le passage du stress au zen. Chacun de ces thèmes constitue
un sujet à part entière. Associés, ils se révèlent indissociables les uns des
autres.
En Belgique, si le particulier avait le choix, il opterait, pour la grande majorité, pour un logement 4 façades. Cela demeure le rêve de nombreux Belges même si la réalité est tout autre. La pression démographique fait grimper le prix des terrains, qui deviennent par la même occasion de plus en plus petits. Malgré les taux d’intérêts historiquement bas des nouvelles constructions, l’avenir du secteur n’est, à court terme, pas particulièrement rose. Ce sont la rénovation et la reconstruction qui ont actuellement le vent en poupe. Autant de conditions qui semblent mettre un terme à l’exode urbain.
Geert Maes, Directeur général de l’organisateur FISA, a choisi comme premier thème de BATIBOUW le retour à la ville. Les gens choisissent de vivre plus proches les uns des autres. Les anciennes friches urbaines sont aménagées. Les sites industriels sont reconstruits et entièrement transformés en nouveaux quartiers. Le cohousing (ou habitat groupé) devient de plus en plus fréquent et la perspective des gratte-ciel ne fait plus grimacer. A l’extérieur aussi des initiatives sont prises, à l’instar des toitures végétales ou des jardins communautaires.
Ces derniers sont sans aucun doute durables et écologiquement responsables. C’est logique car les terrains à bâtir deviennent de plus en plus rares – et donc coûteux. Les prix de l’énergie n’ont jamais été aussi hauts. La société – en particulier les personnes qui construisent ou rénovent et le monde politique – semble prendre conscience que les bâtiments durables doivent désormais prendre le pas sur les constructions traditionnelles. Les énergies renouvelables jouent là un rôle crucial. C’est donc le deuxième thème de l’édition 2013. Le futur, ce sont des appareils hybrides combinant combustibles fossiles et énergies renouvelables. Ces appareils sont destinés à chauffer autant qu’à refroidir. À BATIBOUW, le Palais 10 et le Palais 12, rénové et agrandi, abriteront un large éventail de ce que propose le marché dans ce domaine.
Vivre en ville, c’est vivre au cœur du mouvement et des réseaux, mais c’est aussi faire face à la pression et au stress d’une vie quotidienne parfois vécue comme une interminable course contre la montre. Dans ce contexte, pouvoir se reposer est véritable luxe. Pour se l’offrir, il faut le créer soi-même dans son intérieur. On voit de plus en plus d’exemples de chambre, dressing et salle de bains transformés en un grand espace. Un lieu où les parents peuvent se retirer en toute quiétude, sans les enfants. Toutefois, les équipements multimédias y sont toujours présents. La chambre à coucher devient un espace vital qui permet de passer du stress au zen.
BATIBOUW, le plus grand et plus important salon de la construction, de la rénovation et de l’aménagement intérieur de Belgique aura lieu cette année du jeudi 21 février au dimanche 3 mars 2013.
En Belgique, si le particulier avait le choix, il opterait, pour la grande majorité, pour un logement 4 façades. Cela demeure le rêve de nombreux Belges même si la réalité est tout autre. La pression démographique fait grimper le prix des terrains, qui deviennent par la même occasion de plus en plus petits. Malgré les taux d’intérêts historiquement bas des nouvelles constructions, l’avenir du secteur n’est, à court terme, pas particulièrement rose. Ce sont la rénovation et la reconstruction qui ont actuellement le vent en poupe. Autant de conditions qui semblent mettre un terme à l’exode urbain.
Geert Maes, Directeur général de l’organisateur FISA, a choisi comme premier thème de BATIBOUW le retour à la ville. Les gens choisissent de vivre plus proches les uns des autres. Les anciennes friches urbaines sont aménagées. Les sites industriels sont reconstruits et entièrement transformés en nouveaux quartiers. Le cohousing (ou habitat groupé) devient de plus en plus fréquent et la perspective des gratte-ciel ne fait plus grimacer. A l’extérieur aussi des initiatives sont prises, à l’instar des toitures végétales ou des jardins communautaires.
Ces derniers sont sans aucun doute durables et écologiquement responsables. C’est logique car les terrains à bâtir deviennent de plus en plus rares – et donc coûteux. Les prix de l’énergie n’ont jamais été aussi hauts. La société – en particulier les personnes qui construisent ou rénovent et le monde politique – semble prendre conscience que les bâtiments durables doivent désormais prendre le pas sur les constructions traditionnelles. Les énergies renouvelables jouent là un rôle crucial. C’est donc le deuxième thème de l’édition 2013. Le futur, ce sont des appareils hybrides combinant combustibles fossiles et énergies renouvelables. Ces appareils sont destinés à chauffer autant qu’à refroidir. À BATIBOUW, le Palais 10 et le Palais 12, rénové et agrandi, abriteront un large éventail de ce que propose le marché dans ce domaine.
Vivre en ville, c’est vivre au cœur du mouvement et des réseaux, mais c’est aussi faire face à la pression et au stress d’une vie quotidienne parfois vécue comme une interminable course contre la montre. Dans ce contexte, pouvoir se reposer est véritable luxe. Pour se l’offrir, il faut le créer soi-même dans son intérieur. On voit de plus en plus d’exemples de chambre, dressing et salle de bains transformés en un grand espace. Un lieu où les parents peuvent se retirer en toute quiétude, sans les enfants. Toutefois, les équipements multimédias y sont toujours présents. La chambre à coucher devient un espace vital qui permet de passer du stress au zen.
BATIBOUW, le plus grand et plus important salon de la construction, de la rénovation et de l’aménagement intérieur de Belgique aura lieu cette année du jeudi 21 février au dimanche 3 mars 2013.
jeudi 22 novembre 2012
Situation de la dette de l’État fédéral à fin octobre 2012
Le Service Public Fédéral FINANCES, Trésorerie, communique ce qui suit :
À
la fin du mois d’octobre 2012, la dette de l’État fédéral s’élevait à
368.492.717.624,35 EUR, soit :
- 368.140.488.683,64 EUR concernant la
dette émise ou reprise par l’Etat fédéral ;
- 352.228.940,71 EUR concernant la
dette de certains organismes
pour laquelle l’Etat fédéral intervient dans les charges
financières.
L'endettement net du pouvoir fédéral (endettement brut,
après déduction des placements
financiers et titres en
portefeuille) s'élevait à
355.106.256.689,45 EUR, ce qui représente une diminution de 24.722.320,84 EUR par rapport au mois
précédent.
Cette évolution résulte (voir annexe) :
- d’un surplus net à financement pour le mois d’octobre
de 38.126.703,12 EUR et de divers facteurs techniques à concurrence de
15.753.667,47 EUR ;
- d’une diminution, à concurrence de 2.349.285,19
EUR, de la dette des organismes pour laquelle l’État intervient dans les charges
financières.
La Trésorerie signale que la dette peut évoluer assez
fortement d’un mois à l’autre. L’évolution mensuelle ne reflète donc pas
toujours l’évolution annuelle globale.
En ce qui concerne l’évolution de
la dette pour le mois d’octobre 2012, les particularités suivantes peuvent être
mentionnées :
• Un montant de 276.000.000,00 EUR d’obligations linéaires a été émis. Il
s’agit des souscriptions non compétitives spéciales du 1er octobre 2012 (adjudication usuelle de septembre
2012).
• Les opérations de gestion (dépôts comme placements
interbancaires et la prise en
portefeuille d’OLO, de certificats de trésorerie et de bons d’Etat) ont augmenté de 892.541.301,20
EUR.
Fin octobre 2012, la dette à moyen et long terme représentait 88,3 %
de l'encours de la dette émise ou reprise par l’Etat fédéral, contre 84,3% fin
octobre 2011. La dette en euros représentait 99,7 % de cet encours, comme
l'année passée à la même date.
( Belga)
Les chiffres du VIH/Sida en Belgique
Le nombre
de nouvelles contaminations reste très élevé: toujours plus de 3 infections par
jour !
En 2011, 1177 infections par le VIH ont été diagnostiquées en Belgique , soit
plus de 3 par jour, ce qui maintient le nombre de nouvelles contaminations
par an à un niveau extrêmement élevé. Par ailleurs, on a relevé en 2011, 1,8
diagnostic positif d’infection par le VIH sur 1000 tests, contre 1 sur 1000
en 1996. Il est donc clair que le nombre croissant de nouveaux cas de
séropositivité diagnostiqués n’est pas dû à une augmentation des tests.
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Le nombre
élevé de diagnostics d’IST (infections sexuellement transmissibles) se maintient également. Des
chiffres qui confirment le relâchement des comportements de prévention, observé ces
dernières années.
• Sur l’ensemble des nouveaux cas de contamination par le VIH diagnostiqués en
Belgique en 2011, on constate, depuis 2002, une nette augmentation de la proportion d’homo/bisexuels masculins. Elle est
égale à 46,6% en 2011, (contre 23,6% en 2002), ce qui est disproportionné si
l’on considère la taille de ce groupe de population par rapport à l’ensemble de la population de
la Belgique.
• Avec 49,5%, la contamination par rapports hétérosexuels reste en première
position et si elle s’observe en priorité chez les migrants en provenance d’Afrique Subsaharienne, il n’en
demeure pas moins que nous sommes tous concernés.
Même si l’infection à VIH, en Belgique, concerne surtout les homo/bisexuels
belges et les personnes d’origine étrangère, nous sommes tous concernés,
quelque soit son sexe, son âge, son orientation sexuelle, sa couleur de
peau, puisque le VIH est présent dans l’ensemble des groupes de la
population. C’est encore plus le cas si l’on regarde les autres
infections sexuellement transmissibles.
Concernant le ratio hommes/femmes, les deux tiers des nouvelles personnes
infectées en 2011 sont des hommes : une proportion qui est à nouveau en
augmentation.
Concernant l’âge, c’est la tranche d’âge des 25-34 ans qui est la plus touchée et cela
se confirme et se renforce d’année en année (40 nouveaux cas en 1999 dans ce
groupe contre 160 en 2011) mais tous les groupes d’âge sont touchés, y
compris les jeunes qui débutent leur vie sexuelle : 40 nouveaux cas ont été
diagnostiqués en 2011 chez les 15-24 ans.
La Prévention des IST/Sida doit rester une priorité.
- Parce que le sida poursuit ses ravages, y compris en Belgique où les
nouvelles contaminations restent à un niveau très élevé.
- Parce que les comportements à risque augmentent. En témoigne notamment la recrudescence des IST (infections sexuellement
transmissibles).
- Parce que la connaissance des moyens de transmission et des méthodes de protection est
toujours insuffisante : ainsi, par exemple, une personne sur deux ignore que
choisir des partenaires à l’apparence saine est une méthode de protection
inefficace !
- Parce que les discriminations envers les personnes séropositives restent
une réalité.
- Parce que le dépistage reste insuffisant ou trop tardif. D’une part, cela
retarde la prise en charge médicale des personnes contaminées avec tous les risques de santé que cela comporte pour
elles, et d’autre part, en l’absence de moyens de protection, génère de nouvelles
contaminations.
Il faut donc continuer à mener des actions d’information et de
sensibilisation à la prévention, tant au niveau du grand public et des jeunes
d’âge scolaire que vers les groupes les plus touchés par l’épidémie pour
lesquels les programmes doivent être renforcés et adaptés.
Il convient également de renforcer l’intégration des publics spécifiques et prioritaires dans
les messages grand public. Tout en renouvelant et diversifiant les
stratégies de prévention.
En 2012, le préservatif et le dépistage sont au cœur de la prévention du VIH
et des autres IST.
Démarrage d’un Plan National Sida
La Plate-Forme Prévention Sida et ses partenaires se réjouissent de l’annonce
du ‘Plan National Sida’ pour la Belgique. C’était une demande de
secteur depuis de très nombreuses années.
Ce plan a pour ambition de permettre une utilisation optimale des moyens mis
en œuvre et de partir réellement des besoins du terrain en se basant sur la
consultation des groupes cibles et des experts concernés. Il se veut aussi
transversal et intégrant les aspects
de
non-discrimination et non stigmatisation des groupes de population les plus
touchés.
L’implication active des acteurs de terrain de la prévention, du dépistage et
des soins permettra certainement le développement d’une approche cohérente et
en lien avec les réalités de terrain.
Le préservatif, moyen de prévention central
Même si depuis plusieurs années, les avancées thérapeutiques en matière de
traitement de l’infection par le VIH ont été importantes et invitent à une
adaptation des stratégies de prévention, il est important de continuer à
mettre le préservatif au cœur des stratégies de prévention.
Le préservatif, masculin et féminin, est toujours utilisé de manière
insuffisante.
Il convient donc de renforcer la promotion des préservatifs masculins et
féminins et de faciliter l’accès à leur utilisation ; via notamment le
financement de campagnes de distribution gratuite.
Le dépistage, parce que c’est important de savoir
En 2011, 62,4 tests de dépistage VIH par 1000 habitants ont été réalisés.
Ceci correspond à une augmentation du nombre de tests de 4,4% par rapport à
l’année 2010. Un progrès qui confirme l’importance de poursuivre les
campagnes et actions de sensibilisation menées par les associations de lutte
contre le sida.
Lorsqu’il y a eu comportement à risque, tant pour le VIH que pour les IST, il
est indispensable de réaliser rapidement un test de dépistage. Car on peut
être contaminé par le VIH ou par une IST sans présenter de symptômes… et donc
contaminer ses partenaires. La précocité du diagnostic permet, en cas de
contamination avérée, une prise en charge médicale plus rapide et une
modification du comportement sexuel.
Réduire le dépistage tardif doit être une priorité.
Avec 42% en moyenne, le pourcentage de diagnostics tardifs est en régression
ces dernières années. C’est particulièrement marquant au sein du groupe
homo/bisexuel (33% de dépistages tardifs). Une évolution favorable, certes,
mais non suffisante : un tiers de ces patients est encore diagnostiqué
tardivement. Un pourcentage qui reste très important.
Il est en effet, aujourd’hui, important de savoir si on est infecté par le
VIH. En effet, un diagnostic posé plus précocement permet une
meilleure prise en charge thérapeutique. Il permet aussi à la
personne d’adapter plus tôt son comportement de manière à éviter la
transmission de l’infection à son/sa partenaire.
La communication sur le dépistage du VIH mais aussi des autres IST doit être
renforcée, tant auprès de la population générale qu’auprès de groupes
prioritaires.
Il convient aussi de renforcer l’offre de dépistages, notamment anonymes et
gratuits. Tout en renforçant le rôle des médecins généralistes et des
médecins spécialistes qui devraient davantage proposer le recours à un test de
dépistage.
La place du dépistage délocalisé devient un axe essentiel de la politique de
dépistage ; qui devrait également intégrer les dépistages médicalisés, comme
cela se fait chez nos voisins.
( Belga)
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Mergers: Commission approves Glencore's acquisition of Xstrata, subject to conditions
Commission Vice President in charge of competition
policy Joaquín Almunia stated: "The merger will bring together two major
global players in key commodities. The proposed remedy ensures that competition
in the European zinc metal market is preserved, so that European customers such
as steel galvanisers and car makers can continue to produce valuable consumer
goods at low prices and good quality".
( European Commission)
Club lance sa douce campagne de fin d’année au profit de SOS Villages d'Enfants
La papeterie librairie Club lance une action de fin d'année pour témoigner
de son soutien envers SOS Villages d'enfants. Du 19 novembre au 31 décembre
inclus, nous vendons des signets en peluche dont nous reversons 1 € à SOS Villages d'enfants
par signet vendu.
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À l'occasion des fêtes, Club met les petits plats dans les
grands et lance une action de bienfaisance. Durant ces journées chargées de
shopping, la foule se pressera dans les magasins, à la recherche d'un chouette cadeau pour sa moitié, sa famille ou ses amis. C'est la période idéale pour
faire plaisir à ceux que l’on aime, mais aussi pour se pencher
sur la situation parfois difficile des autres.
Chez Club, nous estimons que chaque enfant a droit à un foyer chaleureux. C'est pourquoi nous
avons décidé d'encourager SOS Villages d'enfants. Avec une vaste sélection de
livres, articles de papeterie et de bricolage, nous stimulons chaque jour le
développement et l'épanouissement des enfants. Ils sont au cœur de nos
sélections, car nous voulons qu'ils partent à la découverte, qu'ils soient créatifs et qu'ils puissent
apprendre de façon ludique. C'est pourquoi vous trouverez chez nous non
seulement des livres et du matériel d'écriture, mais également des jouets,
livres et kits pour faire décoller leur imagination. Notre seul objectif est bien sûr
de mettre toutes les chances du côté de nos enfants.
Ce souhait d'offrir à chaque enfant un avenir clément et d'enrichir sa vie,
rejoint les objectifs de SOS Villages d'enfants. C'est pourquoi nous voulons
soutenir du mieux possible cette association dans ses activités de sponsoring
et son aide aux enfants dans le besoin.
Pour chaque signet en peluche (5 €) que nous vendons entre le 19 novembre et
le 31 décembre 2012, nous reversons 1 € à SOS Villages d'enfants. Les signets
sont une alternative duveteuse aux versions traditionnelles en papier. Une
autre manière d'apprendre aux enfants que lire est amusant, ce qui stimule à
son tour leur développement.
À propos de SOS Villages d'Enfants :
Cela fait plus de 60 ans que SOS Villages d'Enfants construit son expertise
quant à l'accueil et l'éducation des orphelins dans un environnement familial
entouré de la sécurité d'une mère SOS. Aujourd'hui, il y a 531 SOS Villages
d'Enfants dans le monde entier. Les fondements de SOS Villages d'Enfants
sont toujours les mêmes, seule notre approche s'est élargie au cours de ses
60 dernières années. Nous sommes donc toujours spécialisés dans l'accueil
d'enfants vulnérables sur le long terme, mais nous avons également développé une large
part d'activités qui nous permettent de directement soutenir les familles
vulnérables. SOS Villages d'Enfants a d'ailleurs deux projets en Belgique, le Village d'Enfants SOS à Bande et le
projet Simba, un Programme de Renforcement des Familles à Liedekerke. Plus d'infos : www.sos-villages-enfants.be.
À propos de Club :
Club, c’est 33 magasins et 350 collaborateurs. Club est une papeterie
librairie 100 % belge née en 1975. À l’affût des dernières tendances, Club
sélectionne pour toute la famille un vaste choix de produits innovants et de
qualité. Tout au long de l’année, les papeteries librairies Club proposent ainsi
des gammes variées mêlant plaisirs et découvertes : plaisir
d’écrire, décoration, idées de cadeaux et loisirs créatifs. Club guide
également les familles belges dans les moments essentiels de leur vie:
apprentissage, éveil à la lecture, et bien sûr lors des rentrées scolaires.
En 2011, Club a réalisé un chiffre d’affaires de 57 millions
( Belga)
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Les hommes osent dire non à la violence à l’égard des femmes !
Bruxelles, le 21 novembre 2012. A quelques jours du 25 novembre, Journée
internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, 6
célébrités masculines ont répondu à l’appel de l’Institut pour l’égalité des femmes et des
hommes dans une vidéo, choquante et incisive, dans laquelle ils osent dire non à
la violence faite aux
femmes.
Des
hommes osent dire non
Un petit film d’un peu moins de 4 minutes
mettant en scène des jumeaux attire de façon poignante l’attention sur cette
problématique. Ainsi, Bruno
Coppens, Patrick Chaboud, David
Hubert, Bert Gabriëls, Guy Swinnen et Axl Peleman y expliquent pourquoi
il est important de lutter contre la violence faite aux femmes. Les enfants de la chorale Furiosa
(Jeugdkoor Furiosa) dirigée par Steve De Veirman ont souhaité également prêter
leur voix pour la musique de
fond de la vidéo.
Toutes ces personnalités belges, qu’elles
soient issues du monde culturel, musical, ou sportif, du nord ou du sud du pays, ont conscience de l’ampleur de
la problématique et espèrent grâce à leur message encourager les victimes et témoins de violence
entre partenaires à parler et à porter plainte.
«Choisir uniquement
des célébrités masculines pour cette campagne n’est pas anodin, ajoute Michel Pasteel, Directeur de
l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes. En effet, les hommes restent
les auteurs majoritaires de violence
physique et sexuelle à l’égard des femmes ou peuvent en être témoins. En
encourageant les hommes à s’opposer à toute forme de violence, l’Institut vise un message fort :
tous les hommes ne sont pas violents ou indifférents à la violence. Et,
intrinsèquement, l’Institut espère encourager les femmes à briser ce
tabou.»
La vidéo est disponible sur le site internet de l’Institut
(http://igvm-iefh.belgium.be) et sera diffusée sur
les sites de médias sociaux (Youtube, Facebook, etc.) ainsi qu’à l’ensemble des
partenaires du monde associatif de l’Institut afin de propager autant que
possible ce message fort.
Parallèlement à cette vidéo, l’Institut
lance ce mercredi une campagne de
sensibilisation via des spots radios diffusés sur VivaCité, Bel RTL, Nostalgie, Nostalgie Vlaanderen, QMusic, Studio Brussel et MNM, afin, à nouveau, de sensibiliser le grand public à
la problématique.
La violence en chiffres
Pour rappel, une femme sur sept a été
confrontée à au moins un acte de
violence commis par son
(ex-) partenaire au cours des 12 derniers mois [1]. Les hommes sont aussi
victimes (notamment de violences psychologiques ou d’agressions physiques dans
l’espace public), et les femmes sont également auteurs. Il n’en demeure pas
moins que les victimes de faits graves ou très graves dans la sphère privée sont
principalement des femmes.
On observe entre 2005 et 2011, une
augmentation de 38% du nombre
de plaintes déposées à la police pour cause de violence dans le couple[2].
En 2010, une victime est décédée environ tous les 3 jours à cause de
la violence conjugale[3].
Ces actes de violence portent atteinte à l’intégrité
personnelle de la victime et constituent une infraction aux droits fondamentaux de l’être humain. La
violence entre partenaires est un phénomène de société qui touche l’ensemble de
la population, toutes classes
socio-économiques confondues et ne doit plus être réservée à la sphère privée du
couple, mais devenir une question sociale de première
importance.
« Si nous ne faisons rien, la violence ne cessera
jamais, renchérit Michel Pasteel. Deux tiers des enfants témoins de la violence de leurs
parents seront plus tard eux-mêmes victimes ou auteurs de violence [4]. La lutte
contre la violence reflète donc un intérêt social.»
L’Institut
coordonne à ce titre le Plan d’Action National de lutte contre la violence entre
partenaires et autres formes de violences intrafamiliales.
Des
publications
La lutte contre la violence passant aussi par la
sensibilisation et l’information, l’Institut a publié différentes études et
dépliants sur la violence entre partenaires tels que l’étude « Les expériences
des femmes et des hommes en matière de violence psychologique, physique et
sexuelle », le dépliant en dix-sept langues « Brisons le silence avant qu'il ne
nous brise » et la brochure « Violence comment s’en sortir ».
(Source: Institut pour l'égalité des femmes et des hommes)
( Belga)
Deux types d'aides au secteur agricole - Audit de suivi
Après la publication, en juin 2005, d’un rapport d’audit consacré aux aides à l’installation et à l’investissement dans le secteur agricole de la Région
wallonne, la Cour
des comptes a réalisé un audit de suivi afin d’examiner la prise en compte
des recommandations formulées à l’époque et la mise en œuvre des mesures
alors annoncées par le ministre de l’Agriculture.
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Gestion budgétaire et financière des aides
Les aides à l’investissement et à l’installation de jeunes agriculteurs
relèvent du financement du développement rural, dans lequel l’Union
européenne intervient par l’intermédiaire du Fonds européen agricole pour le
développement rural (FEADER).
L’enveloppe
budgétaire prévue pour la programmation 2007-2013 de ces aides s’élève à 180,9
millions d’euros, dont 55,lions de contribution du FEADER. Ces moyens
financiers servent tant à la mise en œuvre de nouvelles mesures qu’au
financement des charges du passé : le respect des engagements
financiers pris à
l’égard des bénéficiaires au cours des programmations précédentes représente
46,4 % de l’enveloppe globale.
Considérant les difficultés rencontrées afin de réconcilier les dépenses
imputées pour la période 2007-2010 dans les comptes de la Région wallonne et
les sommes déclarées auprès de la Commission européenne, la Cour considère que
les informations relatives à l’exécution des paiements devraient être transférées au
sein de l’application de gestion des aides afin de permettre une liaison directe avec les informations
concernant la demande d’aides et aussi de vérifier plus aisément l’exactitude
des déclarations de dépenses transmises à la Commission européenne.
Instruction des
demandes d’aides
La Cour a constaté plusieurs évolutions positives : ainsi, le rôle de l’administration a été amélioré par l’instauration
du principe de l’antériorité de la décision d’octroi de l’aide à la réalisation de
l’investissement.
De même, le processus d’harmonisation des données provenant des comptabilités agricoles a
abouti en 2009. Un cadre commun de traitement des données des comptabilités
analytiques a été défini de façon à garantir une lecture uniforme et une
meilleure compréhension des résultats comptables.
La Cour a aussi constaté qu’il subsistait des zones susceptibles
d’amélioration. Ainsi, depuis le démarrage du PwDR 2007-2013, le dispositif réglementaire a connu de
nombreuses modifications, qui rendent son application complexe pour les
agents traitants et donnent lieu à l’octroi d’aides illégales.
L’examen du processus de contrôle de certaines mesures a mis en évidence des
lacunes. Entre autres, le contrôle a posteriori des engagements souscrits par
les bénéficiaires ne porte que sur les aides cofinancées par le FEADER, à
l’exclusion des aides qui sont totalement à la charge de la Région wallonne.
Par ailleurs, la Cour recommande de prendre rapidement des mesures pour
assurer le suivi annuel de l’exécution des plans d’investissement et de
développement, afin d’éviter de continuer à soutenir des investissements qui n’y seraient pas conformes.
Subventions en
intérêt
La Cour relève l’évolution de la structure des aides accordées : les subventions en capital
sont privilégiées, tandis que l’octroi d’aides sous la forme de subvention en intérêt est appelé à
disparaître dès 2013.
Si le paiement anticipé des subventions en intérêt aux organismes
bancaires a débuté,
l’absence d’actualisation des montants versés anticipativement en 2009 est
contraire au règlement (CE) n° 1974/2006 de la Commission et aboutit à
accorder un avantage injustifié aux organismes bancaires concernés.
Enfin, la révision, suivant les recommandations de la Cour, du mécanisme de
calcul des subventions en intérêt a limité les risques de dérive.
En revanche, certains constats formulés lors de l’audit initial demeurent
d’actualité : ainsi, le montant engagé des subventions en intérêt n’est pas
calculé correctement et le contrôle automatique des dépassements du montant
engagé de l’aide n’est pas intégré dans l’application informatique pour
empêcher tout paiement d’une subvention en intérêt excédant ce montant.
Garantie régionale
Cette aide, qui garantit une partie du remboursement en capital, intérêts et
accessoires des prêts consentis aux personnes physiques et morales pour la
réalisation d’opérations d’investissement en matériel ou en équipement,
intervient en cas de défaillance des débiteurs.
La Commission européenne considère que, pour être admissible, la garantie
doit être quantifiée en équivalents-subventions de façon à être intégrée au
montant total des aides accordées à un bénéficiaire. À ce jour, la garantie
n’est toujours pas intégrée dans ce montant.
Quant à la préservation des intérêts financiers de la Région wallonne, la
situation demeure inchangée par rapport à l’audit initial.
Tout d’abord, les organismes de crédit sont tenus d’introduire une demande de
provision dans les trois mois de la date de dénonciation du crédit afin de
limiter les intérêts qui continuent à courir jusqu’au paiement de la garantie
par la Région. Cependant, le versement d’une provision est peu fréquent. En
outre, la législation ne précise pas le montant de la provision ni son
affectation.
Par ailleurs, les sommes récupérées par les banques auprès des débiteurs sont
imputées en faveur des organismes de crédit, c’est-à-dire sur les intérêts,
et ensuite sur le capital non garanti par la Région. La Cour a réitéré sa
recommandation d’imposer aux banques une répartition des sommes récupérées de
manière proportionnelle entre la part garantie et la part non garantie du
crédit.
Enfin, alors que la Région est subrogée dans les droits du créancier
bancaire, aucune démarche n’a été entamée pour récupérer, auprès des
débiteurs, les sommes versées par la Région au titre de la garantie.
Au terme du présent audit, la Cour relève également que l’administration n’a
pas mis en œuvre les procédures et systèmes d’information lui permettant de
connaître les valeurs totale et actualisée des garanties accordées.
Informations pour la presse
La Cour des comptes contrôle les finances publiques fédérales,
communautaires, régionales et provinciales. Elle contribue à l’amélioration
de la gestion publique en transmettant aux assemblées parlementaires, aux
gestionnaires et aux services contrôlés, des informations utiles et fiables,
résultant d’un examen contradictoire. La Cour des comptes est indépendante
des pouvoirs qu’elle contrôle.
Le rapport Deux types d’aides au secteur agricole : les aides à
l’investissement et à l’installation de jeunes agriculteurs, la synthèse et
ce communiqué de presse sont disponibles sur la page d’accueil du site
internet de la Cour des comptes : www.courdescomptes.be
(Belga)
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Attention, araignées ! Nouvelle exposition du 18 décembre 2012 au 31 mars 2013
Le musée est encore ouvert ! Dès le 18 décembre 2012, une nouvelle exposition
vous permettra d’admirer la beauté et la diversité d’araignées et de scorpions
vivants.
L’exposition d’origine polonaise a d’abord été présentée en
Allemagne, en Pologne et aux Pay-Bas avant
d’arriver en Belgique. Les
terrariums sont remplis
d’araignées colorées comme la mygale à pattes rouges, l’usambara orange, la
dangereuse veuve noire ou encore l’araignée Goliath, une des plus grandes
araignées du monde. Vous pourrez également faire connaissance avec des espèces d’arachnides
exceptionnelles comme un amblypyge, un solifuge ainsi qu’avec une série impressionnante de
scorpions dont le scorpion
empereur.
La section des invertébrés non-insectes de l’institut de recherche du MRAC, dispose d’une collection de
300.000 spécimens d’araignées et mène des recherches sur la biodiversité et sur l’utilité des
araignées dans l’évaluation de la qualité d’une forêt. Des interviews vidéo
présentent ces activités au public.
( Musée Royal de l'Afrique Centrale)
dimanche 18 novembre 2012
Le MRSA en recul : point de départ dans la lutte contre les bactéries hospitalières
Des études menés par l’Institut Scientifique de Santé Publique (WIV-ISP)
démontrent que la bactérie hospitalière Staphylocoque doré résistant à la
méticilline (MRSA) est en train de perdre du terrain et ce, grâce à une approche
conjointe des autorités concernées. Le WIV-ISP et les Laboratoires Nationaux de Référence pour les bactéries
résistantes ont réalisé, en 2011, une recherche sur le portage de bactéries résistantes aux antibiotiques chez les personnes
âgées. L’étude a porté sur 60 maisons
de repos et de soins (appelées « MRS ») belges. En comparaison avec la
précédente étude menée en 2005, le portage de la bactérie hospitalière MRSA chez
les résidents des « MRS » en Belgique a diminué de 7%. La surveillance nationale du MRSA, menée par le WIV-ISP
dans les hôpitaux, montre la même évolution favorable. Les deux études montrent
cependant que d’autres bactéries résistantes aux antibiotiques apparaissent. Une
approche globale, tant dans les hôpitaux que dans les autres centres de soins, mais aussi dans la
population générale, reste
donc indispensable.
L’Institut Scientifique de Santé Publique et les
Centres Nationaux de Référence pour les bactéries résistantes (UCL, CHU Mont-Godinne et l’hôpital Erasme de l’ULB) ont mené en 2005 et 2011, des
études dans 60 maisons de repos et de soins belges. L’objectif était de
déterminer combien de personnes âgées étaient porteuses de bactéries résistantes
aux antibiotiques. « D’après une comparaison entre les deux études, il apparait
que, pour la période étudiée, le portage du staphylococcus aureus résistant à la méticilline
(appelées également bactéries hospitalières « MRSA ») a diminué de 7% chez les
résidents des maisons de repos et de soins », explique Béatrice Jans de
l’Institut Scientifique de Santé Publique. « Une telle tendance favorable a
également été observée dans le rapport annuel 2011 de la surveillance nationale des
MRSA dans les hôpitaux. Ce travail de surveillance est assuré co-jointement par le
WIV-ISP et par le laboratoire
de référence des staphylocoques depuis 1994. Depuis 2003, le nombre de patients
ayant contracté le MRSA durant un séjour à l’hôpital a diminué de plus de moitié
». Olivier Denis du laboratoire de référence des MRSA à l’hôpital Erasme (ULB)
ajoute : « Non seulement, moins de patients contractent le MRSA en hôpital, mais
le staphylocoque doré est également moins souvent résistant aux antibiotiques
que dans le passé » .
Cette évolution favorable est due aux efforts que
la Belgique a fourni ces dernières années afin d’enrayer le MRSA dans les
hôpitaux et les établissements de soins de santé. En voici quelques exemples
:
Les laboratoires de référence et le WIV-ISP suivent de très
près l’évolution du MRSA ;
La Commission belge de coordination de la politique
antibiotique (BAPCOC) a élaboré une politique rationnelle d’usage des
antibiotiques pour tous les secteurs afin de lutter contre les futurs
développements de la résistance. L'efficacité de cette politique se reflète par
les résultats des études réalisées dans les maisons de repos et de soins : entre
2005 et 2011, le pourcentage de résidents avec un traitement antibiotique récent
a diminué de plus de 10%.
« En même temps, il faut insister sur
l'importance de l'hygiène des
mains. Pour cela, les
différentes autorités belges ont organisé des campagnes d’hygiène des mains dans
les hôpitaux et en maison de
repos et de soins, afin de lutter contre la transmission de germes par les mains, tant au niveau du
personnel soignant, des patients que des visiteurs », a déclaré Anne Simon, de
l'Unité d'Hygiène Hospitalière, Cliniques Universitaires St Luc.
Les
équipes d'hygiène hospitalière et le personnel des maisons de repos et de soins
ont élaboré une politique ciblée de prévention de l'infection, avec également
une collaboration et une communication de plus en plus systématique entre les
deux secteurs. Le dernier point est essentiel car la résistance aux
antibiotiques ne connaît pas de frontières.
« Toutes ces actions semblent
maintenant porter leurs fruits, mais il y a des efforts supplémentaires à
fournir, parce que si le MRSA est en recul, de nouveaux types de bactéries
résistantes émergent », explique Youri Glupczynski du Centre National de
Référence pour les entérobactéries résistantes à CHU Mont-Godinne (UCL). « Suite
à l’utilisation inappropriée d’antibiotiques, des bactéries intestinales à
l’origine banales comme Escherichia coli ou Klebsiella pneumoniae ont développé
des mécanismes qui détruisent les antibiotiques par la production de l’enzyme «
Bêta-lactamase à Spectre Etendu (BSLE) », qui rend le traitement par
antibiotiques Bêta-lactames difficile. Ces mêmes bactéries peuvent également
produire un autre enzyme ‘Carbapénèmase’ (CPE) qui affaiblit l'efficacité
d’autres antibiotiques (les carbapénèmes). En conséquence, l'arsenal
d'antibiotiques qui peut encore être utilisé pour traiter ce genre d’infections
est beaucoup plus limité et les médecins doivent recourir à des antibiotiques de
plus en plus lourds, contre lesquels les bactéries peuvent à leur tour
développer une résistance. Il est donc essentiel de briser ce cercle vicieux en
n’utilisant les antibiotiques que lorsqu’ils sont vraiment nécessaires »,
explique Michiel Costers de la Commission belge de coordination de la politique
antibiotique (BAPCOC).
« En principe, tout le monde peut être porteur de
bactéries intestinales résistantes. Les personnes en bonne santé ne le
remarquent généralement pas. C’est uniquement chez les personnes gravement
malades ou très affaiblies qu’une telle contamination peut effectivement
conduire à une infection », explique Béatrice Jans (WIV-ISP). L'étude nationale
réalisée dans les maisons de repos et de soins (2011) montre que le pourcentage
de porteurs de « BSLE » dans les établissements de repos et de soins (sans signe
extérieur de maladie) est plutôt limité ; seulement 6,2% des résidents étaient
porteurs. Cependant, la surveillance dans les hôpitaux montre que le nombre de
bactéries résistantes productrices de BSLE a augmenté entre 2005 et 2011 : le
nombre de E. coli BLSE+ est passé de 4 % à 7,4 % ; le pourcentage de Klebsiella
BLSE+ est passée de 6,9% à 11,6%. Les bactéries résistantes aux carbapénèmes
sont également plus fréquentes dans les hôpitaux. Il y a quelques années encore,
ce type de résistance était encore rare dans notre pays, mais il est apparu via
le transfert de patients venant d’hôpitaux depuis l’Afrique du Nord, l’Europe du
Sud et l’Asie. Durant les six premiers mois de 2012, l’on a compté un total de
217 cas de CPE diagnostiqués dans les hôpitaux. « Entretemps, le CPE ne concerne
plus exclusivement les voyageurs, mais il concerne également les patients dans
les maisons de repos et de soins ainsi que la communauté », explique Youri
Glupczynski (CHU Mont-Godinne).
Pour pouvoir endiguer la progression de
ces résistances, toute l'expérience acquise dans la lutte contre le MRSA est à
présent déployée contre ces nouvelles formes de résistance. « Une approche
nationale a été mise en place, avec une surveillance ciblée et des directives
spécifiques émanant du Conseil supérieur de la santé dans le cadre de la lutte
contre les bactéries CPE dans les institutions de soins de santé », a déclaré
Michiel Costers (BAPCOC).
Pour le futur, le message est donc le suivant :
rester vigilant, recourir aux antibiotiques avec prudence, et surtout promouvoir
l'hygiène des mains. Non seulement dans les établissements de soins, mais aussi
en dehors, chez tout un chacun.
Ce lundi 19 novembre, c’est la journée mondiale des toilettes…
Saviez-vous
qu'il y a sur notre terre 2.4 milliards d'individus qui vivent encore
aujourd'hui sans toilettes.
En Belgique, la population attache une grande importance à
l’hygiène des locaux sanitaires. Par contre, dans les
écoles, et autres lieux publics, on peut parler d’une infection dans certains
établissements tellement l’hygiène et la propreté des toilettes laissent à
désirer…
|
Les
établissements scolaires sont souvent pointés du doigt pour l'hygiène de ces
lieux, un très grand nombre d'élèves craignent de s’y rendre et préfèrent se
retenir, et attendre d'être à la maison. Il en va de même dans bon nombre de
lieux publics…
Se retenir afin d'éviter d'aller aux toilettes peut engendrer des problèmes
de santé. Cystite et constipation sont les premières à se manifester, et là, nous ne
vous apprenons rien. Afin d'éviter de devoir y aller, les enfants s'abstiendraient même de boire
durant la journée ! Ces problèmes de santé se feront ressentir toute la vie
et s’aggraveront avec l’âge.
Dans les écoles, les appareils sanitaires traditionnels ne sont pas étudiés
pour de tels débits sur le temps d’une récréation. Dans certains locaux
d’établissement qui ont été visités, les responsables ne parlent pas de
toilettes sales ou vétustes, mais plutôt d’une infection, ou de zone
sinistrée. Il y a pourtant une solution radicale et définitive aux problèmes
d'odeurs et
d'hygiène dans ces lieux, les toilettes air9 ont été étudiées pour des usages
intensifs. Les odeurs sont inexistantes et les utilisateurs peuvent se
soulager en toute sérénité.
Aujourd’hui, on retrouve les WC et urinoirs sans odeurs un peu partout en
Belgique et en France. Ecole, entreprise, galerie commerciale, parc d’attractions, gare, aéroport, café, snack,
restaurants, hôtel, maison de repos, hôpitaux et lieux publics en tout genre. La clientèle des toilettes sans
odeurs est sans limite. Des milliers des toilettes et urinoirs ont été
installés, le particulier représente également une grande partie de la
clientèle.
Plusieurs écoles sont déjà équipées de ce genre de toilettes sans odeurs.
Citons par exemple, l’école Notre Dame des Rhosnes de Frasnes-lez-Anvaing, l’école d’Hacquegnies, l’Athénée
Royale de Saint-Ghislain, le Collège du Sacré Cœur de Ganshoren, etc.
Mr Pierre Lesnes, directeur de l’école Notre Dame des Rhosnes de
Frasnes-lez-Anvaing, jusque là gêné de ses locaux sanitaires, se vente
aujourd’hui d’avoir les toilettes les plus propres du monde. Il signale qu’il
y a moins de travail pour les entretenir car les enfants sont plus
respectueux lorsque les locaux sont sains….
Il y a clairement un souci au niveau des sanitaires dans les lieux publics,
des solutions existent pourtant…il faudrait que le monde politique s’en inquiètent…
La société Frasnoise a inventé et développé ces types de WC et urinoirs. Les
WC air9 sont équipé d’un système d’aspiration d’odeur. Les urinoirs air9 sont également
équipés d’un système d’aspiration d’odeur et ont la particularité de
fonctionner sans eau. Début des années 2000, la PME de l’inventeur s’est vue décernée une médaille d’or
pour le WC sans odeurs, et une autre pour l’urinoir sans odeur et sans eau, et ce sur
le salon mondial des innovations, de la recherche et des nouvelles technologies.
Eureka-Concept fut élue l’entreprise la plus innovante du Hainaut en 2006 et
assure les installations dans toutes la Belgique et le nord de la France.
( Belga)
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Tarifs des transports en communs
Position de la Coordination des associations de
seniors au sujet de la hausse du coût des transports en commun
|
La Commission des
Seniors de la Fédération Wallonie-Bruxelles, s’insurge contre l’agression
perpétrée vis-à-vis des Seniors concernant l’AUGMENTATION des tarifs des
transports en commun les concernant.
1° SNCB une
augmentation prévue de 13.2% du ticket passant de 5,30€ à 6€ (en 2011 le
prix du billet était de 5.1€ soit au total une augmentation de 17.65 % en
deux ans) alors que le billet simple augmente de 3.08% en 2013. Une des revendications des aînés était la suppression de la limite horaire du matin
(pas de réduction avant 9h00) en contre-partie la SNCB modifierait ou
annulerait les restrictions des samedi et dimanche en juillet-août. La SNCB
n’a pas du tout suivit les revendications des aînés.
2° TEC passe de la gratuité à une redevance annuelle de 36€/senior
3° Pensions et
bien-être :
Dans le même temps l’application de la loi du 23 décembre 2005 sur l’adaptation des Pensions au
bien-être qui devait faire l’objet d’une proposition au gouvernement avant le 15 septembre2012 est
toujours bloquée par la FEB et le gouvernement, suivant l’article 73§3 de
cette même loi, n’a pas pris l’initiative à ce jour.
A l’heure ou + de 20% de la population âgée de plus de 65 ans ( +/-500.000)
est avec une pension en dessous du seuil de pauvreté (1000€/mois),
il est inconcevable que les tarifs des transports en commun augmentent de la
sorte et que les adaptations pour les petites pensions soient dans l’impasse.
( Belga)
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