vendredi 25 mai 2012

Groupe des spécialités pharmaceutiques les moins chères limité à trois


Dans le cadre des mesures d'économie 2012, le Conseil des ministres avait décidé que le pharmacien devait délivrer un médicament qui se trouvait dans la fourchette de 5% par rapport au médicament le moins cher lors d'une prescription sous le nom de la molécule, d'un antibiotique ou d'un antimycosique. 
Ces médicaments les moins chers devaient cependant toujours être au moins trois,même si ceux-ci ne correspondaient pas à la fourchette de 5 % par rapport au médicament le moins cher. Ce filet de sécurité de minimum trois prenait fin le 1er juin 2012
Le Conseil des ministres, sur proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Laurette Onkelinx, a approuvé un projet d'arrêté royal (*) qui maintient cette garantie de minimum trois médicaments répondant à chaque prescription au-delà du 1er juin 2012.
(*) modifiant l'arrêté royal du 21 décembre 2001 fixant les procédures, délais et conditions en matière d'intervention de l'assurance obligatoire soins de santé et indemnités dans le coût des spécialités pharmaceutiques.

(Belga)

Résultats de l’Enquête Nationale de Delta Lloyd Life sur les Pensions


% des Belges sont très inquiets pour leur future pension, mais 1 Belge sur 3 n’envisage pas de travailler plus longtemps (jusqu'à 65 ans)

Jeudi 24 mai 2012 – Delta Lloyd Life a publié aujourd’hui les résultats de son sondage “La pension s’invite dans le salon des Belges”. L’enquête fait apparaître que plus de la moitié des Belges (57 %) sont très inquiets de la situation financière qui sera la leur à la pension. 74 % de la population est convaincue que la pension légale constituera plus de la moitié des revenus (futurs) du ménage après la pension. Malgré cela, un tiers des répondants ne sont pas disposés à travailler jusqu’à 65 ans, même si près de 9 sur 10 d’entre eux ont conscience que cela les privera d’une partie de leur pension légale. Interrogé sur le top 3 des solutions qui permettraient de garantir la viabilité du système des pensions, le Belge pense principalement à (1) la mise au travail des jeunes chômeurs, (2) une pension complémentaire via l’employeur et (3) une pension de base garantie par l’Etat. Il est frappant de constater que l’idée de travailler plus longtemps (*) est la solution la moins populaire.

(*) Par “travailler plus longtemps” il faut comprendre ici : travailler jusqu’à l’âge de la pension légalement fixé à 65 ans. Il n’est donc pas question ici d’un éventuel recul de l’âge légal de la pension.

En février et mars 2012, l’assureur pension a interrogé 1.450 Belges, en collaboration avec le bureau d’enquêtes indépendant Client Mining, sur les mesures à prendre pour maintenir le système de pension belge. (cf. Annexe 1)
« La pension caracole en tête de l’agenda politique depuis la formation du nouveau gouvernement, fin 2011, » nous explique Annelore Van Herreweghe, la porte-parole de Delta Lloyd Life. « Le tsunami du vieillissement qui s’annonce remet en question la viabilité du système de pension actuel. Les réformes ont été menées tambour battant par le fraîchement nommé Vice-Premier Ministre et Ministre des Pensions Vincent Van Quickenborne. Les pensions constituent depuis lors un sujet brûlant aussi bien Rue de la Loi que dans les médias. L’objectif de ce sondage était d’évaluer dans quelle mesure la pension est devenue un sujet de discussion incontournable au sein des foyers belges. Le Belge moyen est-il sensibilisé aux défis qui nous attendent en matière de pension ? Connaît-il la problématique et entrevoit-il des solutions ? Se résigne-t-il à la solution que l’on préconise Rue de la Loi, à savoir travailler plus longtemps  ? Et ce fameux fossé entre les générations aux conceptions contradictoires en matière de pension, existe-t-il réellement ? »
Le sondage en ligne s’adressait à la catégorie d’âge de 18 à 64 ans.
Enquête Nationale 2012 sur les Pensions : La pension s’invite dans le salon du Belge

Près de 3 Belges sur 5 sont très inquiets pour leur (future) pension
57 % des répondants âgés de 18 à 64 ans sont très inquiets de la situation financière qui sera la leur à la pension, bien plus que de leur situation financière actuelle (40 %) (**) (cf. Annexes 2 et 3).
« L’attention que les médias accordent aux pensions peut avoir des effets pervers, » poursuit Annelore Van Herreweghe. « Il faut bien sûr attirer l’attention de la population sur les défis auxquels est confronté le système de pension, pour la sensibiliser et l’informer. Mais souvent la situation actuelle n’est abordée que sous l’angle ‘dramatique’ en éludant l’éventualité d’une possible réforme du système, ce qui a pour effet d’alarmer la population et de lui faire redouter l’avenir. Tant qu’on y est, profitons-en pour réformer notre système de pension de façon approfondie, réfléchie et surtout durable. »

(**)  Lors de l’Enquête Nationale de 2008 sur les Pensions, Delta Lloyd Life avait déjà interrogé le Belge sur ses inquiétudes. À l’époque, 44 % des répondants s’inquiétaient de leur situation financière à la pension et 27 % s’inquiétaient de leur situation financière actuelle. Les craintes du Belge par rapport à ses finances se sont donc accentuées.

Malgré l’inquiétude que lui cause sa pension, 1 Belge sur 3 n’est pas disposé à travailler jusqu’à 65 ans…

33 % des Belges rejettent l’idée de travailler jusqu’à 65 ans. Ce pourcentage est le plus élevé parmi les ouvriers de plus de 50 ans (52 %) et les fonctionnaires de plus de 50 ans (52 %). A contrario, un nombre pratiquement égal de répondants se déclarent tout à fait disposés à travailler jusqu’à 65 ans (31 %). Ce sont principalement les indépendants de plus de 50 ans (64 %) et les étudiants (52 %) qui acceptent cette idée (cf. Annexe 4). « Une tendance positive qui va en s’accentuant par rapport aux années précédentes (***)  » précise Annelore Van Herreweghe, « et un résultat visible et mesurable qui fait suite aux efforts entrepris pour sensibiliser à la problématique des pensions. Mais malgré l’inquiétude quant à l’avenir financier, tout le monde n’est pas encore convaincu de la nécessité de travailler plus longtemps, tant s’en faut. »
Seuls un peu plus d’un quart des Belges (28 %) se déclarent d’accord avec l’idée que celui qui est physiquement apte devrait travailler jusqu’à 65 ans. Il est frappant de constater que la moitié des répondants (49 %) ne sont pas du tout d’accord avec cette idée (cf. Annexe 5).

(***) Lors de l’Enquête Nationale de 2007, Delta Lloyd Life avait posé la question suivante : “Etes-vous disposé à travailler plus longtemps pour que tout le monde puisse bénéficier à l’avenir d’une pension légale ?” Les réponses furent les suivantes : 25 % : Non, je souhaite prendre ma pension dès que possible, 42 % : Non, je souhaite prendre ma pension vers l’âge de 60 ans, 20 % : Oui, je suis disposé à travailler jusqu’à 65 ans, 13 % : Oui, même au-delà de 65 ans si nécessaire mais moyennant une pension plus élevée. Il s’avérait donc que 67 % des Belges n’étaient pas disposés à travailler jusqu’à 65 ans.
…même si près de 9 sur 10 d’entre eux ont conscience que cela les privera d’une partie de leur pension légale

Près de 9 Belges sur 10 qui ne souhaitent pas travailler jusqu’à 65 ans ont conscience que cela les privera d’une partie de leur pension légale. En outre, 74 % de la population est convaincue que la pension légale constituera plus de la moitié des revenus (futurs) du ménage après la pension (cf. Annexe 6). « Même en sachant que le fait d’arrêter de travailler plus tôt aura un effet négatif sur la pension légale et en étant conscient du fait que la pension légale constituera une partie importante des revenus ultérieurs du ménage, près d’un tiers des répondants ne sont pas disposés à travailler jusqu’à 65 ans. C’est interpellant » estime la porte-parole de Delta Lloyd Life, « d’autant plus que le Belge affirme craindre les problèmes financiers après la pension. »

…à peine la moitié des Belges saisissent l’opportunité de se constituer un complément de pension

De même, s’il doit choisir entre une augmentation de salaire aujourd’hui ou le double du montant investi dans une assurance pension pour demain, moins d’1 Belge sur 2 (46 %) opte pour demain (cf. Annexe 7). « Même lorsqu’on leur offre la possibilité de se constituer un complément de pension via leur employeur, à peine la moitié des Belges saisissent cette opportunité, » poursuit Annelore Van Herreweghe. « C’est doublement interpellant, car l’enquête proposait de choisir entre une augmentation de salaire immédiate de 100 euros et un investissement annuel du double de ce montant (200 euros) en prévision de la pension. Malgré les grandes inquiétudes que leur cause la pension, les Belges ne semblent que très moyennement enclins à se prendre en charge. »

Inciter les jeunes au travail plutôt qu’allonger le temps de travail est la solution la plus populaire pour garantir la viabilité du système

Interrogé sur le top 3 des solutions qui permettraient de garantir la viabilité du système des pensions, le Belge pense principalement à la mise au travail des jeunes chômeurs (51 %), à une pension complémentaire via l’employeur (29 %) et à une pension de base garantie par l’Etat (24 %). Il est frappant de constater que l’idée de travailler plus longtemps est la solution avancée comme étant la moins populaire : interdire de prendre sa pension avant 65 ans (5 %), relever l’âge de la pension à 67 ans (5 %) et indexer automatiquement l’âge réel de la pension en fonction de l’espérance de vie (8%) sont les solutions qui recueillent le moins d’approbation (cf. Annexe 8).
« En fait, le Belge reste perplexe concernant le financement du système de pension », poursuit la porte-parole de Delta Lloyd Life. « Travailler plus longtemps ne lui semble manifestement pas une solution envisageable, en tout cas il n’y est pas disposé. C’est pourtant la solution préconisée par le gouvernement pour garantir la viabilité du système. Le Belge semble donc perplexe quant aux mesures à adopter, et compte sur les autres pour fournir les efforts nécessaires. Selon lui, la solution est à chercher auprès des jeunes, des employeurs et de l’Etat. »

Bien qu’elle soit sérieusement malmenée, la solidarité entre les générations ne préoccupe qu’1 Belge sur 4
Les répondants accordent manifestement de l’importance à la solidarité entre les jeunes et les seniors (67 %) (cf. Annexe 9). Mais le Belge s’inquiète relativement peu (25 %) de la solidarité intergénérationnelle (cf. Annexe 10). Ce sujet se retrouve d’ailleurs à la dernière place sur la liste des sujets d’inquiétude du Belge.
« Les résultats de l’enquête ont été analysés séparément pour différentes générations, et il en ressort très clairement qu’il n’y a pas de réel ‘fossé entre les générations’ », affirme Annelore Van Herreweghe. « Il y a des différences entre la jeune génération et la génération plus âgée, mais les tendances sont les mêmes et on ne peut pas réellement parler de fossé. Toute la question est de savoir si cela va perdurer. Pratiquement tous les profils estiment que la viabilité du système de pension dépend en majeure partie de la solution du problème du chômage des jeunes. Aujourd’hui, les jeunes eux-mêmes sont de cet avis, fût-ce dans une moindre mesure (45 % des 18-34 ans) que leurs aînés (58 % des 50-64 ans). Mais comment réagiront-ils s’ils apprennent notamment que la génération des seniors n’est pas disposée à travailler plus longtemps ? Si ces deux générations ne mettent pas un peu d’eau dans leur vin, la situation actuelle pourrait constituer le terreau d’un futur conflit de générations. »
Qui plus est, seul 1 Belge sur 3 affirme avoir contribué personnellement à la solidarité intergénérationnelle (cf. Annexe 11).
« La solidarité intergénérationnelle est, dans notre système de répartition par lequel les cotisations de la population active servent à financer les pensions actuelles, l’un des piliers du système de pension belge. Pourtant, le Belge estime ne contribuer que très modérément à ce système. On peut se demander dans quelle mesure le Belge est familiarisé avec le principe de solidarité qui caractérise notre système de pension. »

Conclusion générale

« La prise de conscience du défi des pensions est comparable à un lent cortège parti de la Rue de la Loi, qui arrive enfin Rue du Village après avoir emprunté l’Avenue des Médias, » conclut Annelore Van Herreweghe, porte-parole de l’assureur pension. « La phase de sensibilisation est à présent engagée et commence à porter ses fruits. Le sujet s’invite à présent dans le salon des Belges. Une seconde phase s’impose car les problèmes précis du système de pension belge et les solutions envisageables sont encore largement méconnus du Belge, qui compte encore trop souvent sur les autres. La nécessité de sensibilisation et d’information est donc plus que jamais d’actualité. Un rôle taillé sur mesure pour Delta Lloyd Life. La problématique des pensions implique en effet la responsabilité partagée de tous les acteurs : l’Etat, les organismes privés comme Delta Lloyd Life, mais également les employeurs et les citoyens. »

« La constatation qu’il n’existe pas aujourd’hui de grandes divergences de vue entre les différentes générations constitue une agréable surprise, » poursuit la porte-parole de Delta Lloyd Life. « Mais il y a lieu de rester vigilant. Peut-être n’y a-t-il pas aujourd’hui de fossé entre les générations, mais les résultats de l’enquête font apparaître que la solidarité est fragile. Tous les doigts pointent en direction des jeunes pour solutionner le problème des pensions, mais les aînés devront eux aussi apporter leur pierre à l’édifice si l’on veut écarter tout risque de frustration intergénérationnelle.
Le fossé auquel on assiste actuellement est plutôt celui qui se creuse entre le citoyen et la politique. Autrement dit : la fanfare de la pension partie de la Rue de la Loi est entre-temps arrivée Rue du Village, mais pour l’instant la musique qu’elle interprète n’est pas au goût de tout le monde. La mesure principale qu’impose le gouvernement actuel – travailler plus longtemps – n’est pas (encore) la bienvenue dans le salon des Belges. »
Delta Lloyd Life en appelle à considérer le défi des pensions comme une opportunité. « Le vieillissement impose de réformer notre système de pension en profondeur et durablement. Discutons et informons à tous les niveaux de la société, pas uniquement Rue de la Loi. C’est le meilleur moyen d’impliquer tout un chacun dans la problématique de la pension et la recherche de solutions, » nous dit encore Annelore Van Herreweghe.
C’est précisément ce que nous avons fait lors de la présentation à la presse des résultats de cette Enquête Nationale : le Vice-Premier Ministre et Ministre des Pensions Vincent Van Quickenborne a dialogué de façon ouverte et constructive avec 40 Belges. « Nous avons été agréablement surpris par la réponse du Vice-Premier Ministre, qui a accepté avec enthousiasme notre invitation à débattre avec un groupe de concitoyens, » poursuit la porte-parole de l’assureur pension. « Il s’efforce manifestement de rester disponible, même en dehors de la Rue de la Loi. Et cela s’avère plus que nécessaire. »
( Belga)


Qui cherche trouve : deux fois plus de cancers de la thyroïde à Bruxelles et en Wallonie liés à un recours plus intensif à l’imagerie médicale et aux interventions sur la thyroïde ?


L’incidence des cancers de la thyroïde est deux fois plus élevée en Wallonie et à Bruxelles qu’en Flandre. La Ministre de la Santé Publique a demandé à l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISP) et au Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) d’analyser cette variabilité géographique, en collaboration avec la Fondation Registre du Cancer (BCR). En avril 2012, l’ISP a conclu que vivre aux alentours d’installations nucléaires n’augmentait pas le risque de développer un cancer de la thyroïde. Le KCE a, pour sa part, observé qu’à Bruxelles et plus particulièrement en Wallonie, plus d’examens d’imagerie médicale et d’interventions chirurgicales sont réalisés pour le diagnostic et le traitement des pathologies de la thyroïde. Ce recours intensif augmente les chances de découvrir de manière fortuite un cancer de la thyroïde à un stade de développement précoce. Cela pourrait justifier les différences d’incidence observées entre régions mais une étude approfondie reste nécessaire pour confirmer cette conclusion. Le KCE plaide pour l’amélioration du suivi des recommandations internationales dans la prise en charge des pathologies thyroïdiennes. Cela contribuerait à réduire fortement les différences régionales et conduirait à une utilisation plus fréquente des procédures pré-opératoires recommandées.


Le nombre de cas augmente mais la survie s’amélioreDepuis le début des années ’70, les taux d’incidence du cancer de la thyroïde sont en augmentation en Belgique comme dans de très nombreux pays. Selon le Registre du Cancer, près de 660 nouveaux cas de cancer de la thyroïde sont enregistrés chaque année en Belgique. Taux qui peut être qualifié d’intermédiaire en comparaison avec les autres pays européens pour un cancer qui reste relativement rare. A titre de comparaison : en Belgique chaque année près de 9.500 nouveaux cas de cancer du sein sont diagnostiqués chez les femmes. Grâce à un dépistage précoce et aussi parce que l’augmentation concerne principalement les tumeurs papillaires de bon pronostic, la survie globale s’améliore : sur 100 patients diagnostiqués avec un cancer de la thyroïde, 91 seront encore en vie après 5 ans.


Cancer de la thyroïde autour des sites nucléairesL’ISP a analysé la situation de l’incidence du cancer de la thyroïde autour des sites nucléaires. Les résultats ont révélé qu’à proximité des centrales de Tihange et de Doel, le nombre de nouveaux cas de cancers de la thyroïde n’est pas plus élevé que la moyenne. Aux environs des sites de Mol-Dessel et Fleurus, le nombre de cas de cancer de la thyroïde est légèrement plus élevé qu’en dehors de cette zone. Cependant, ce cas de figure n’est pas exceptionnel en Belgique. Autour de la centrale française de Chooz, à proximité de la frontière franco-belge, il n’a pas été possible de tirer des conclusions scientifiques probantes.


Les différences régionales sont-elles liées à un dépistage plus intensif de (très) petites tumeurs ?Le KCE et le BCR ont approché la question sous un tout autre angle. Se pourrait-il que, dans certaines parties du pays, on trouve davantage de cancers de la thyroïde en raison du fait qu’ils seraient dépistés de manière plus intensive ? Le nombre plus élevé de cancers en Wallonie et à Bruxelles serait dès lors davantage lié à une utilisation plus fréquente des tests diagnostiques et des interventions chirurgicales, plutôt qu’à une incidence plus élevée du cancer dans la population. D’ailleurs, le nombre plus élevé de cancers observé en Wallonie et à Bruxelles est presque entièrement attribuable à un plus grand nombre de tumeurs de très petite taille. En revanche, la fréquence des tumeurs de grande taille et à un stade plus avancé et la mortalité liée au cancer de la thyroïde sont pratiquement identiques pour l’ensemble du pays.

Les examens d’imagerie médicale tels que l’imagerie par résonance magnétique (IRM), le PET-scan et l’échographie du cou ou  des carotides, sont des examens très sensibles, capables de dévoiler de manière fortuite la présence d’une petite tumeur sur la thyroïde. Le KCE a constaté qu’à Bruxelles et en Wallonie, de tels examens sont 30 à 40% plus fréquents qu'en Flandre.


Il existe aussi des différences régionales dans la prise en charge de maladies telles que la thyrotoxicose et les nodules thyroïdiens. La thyrotoxicose se traduit par une élévation du taux d’hormones thyroïdiennes dans le sang, ce qui peut causer des maladies graves, comme par exemple, la fibrillation cardiaque. La plupart des patients sont traités avec des médicaments antithyroïdiens ou de l'iode radioactif. Les autres patients sont traités par chirurgie (ablation totale ou partielle de la thyroïde). Cette intervention chirurgicale est plus fréquente en Wallonie et à Bruxelles. Du fait que ces interventions sont toujours suivies d’un examen minutieux de l’organe opéré, la probabilité de détection des cellules cancéreuses est, par conséquent, aussi plus élevée.
Le recours à la chirurgie pour le traitement de nodules thyroïdiens est, ici encore, plus fréquent en Wallonie. Les chercheurs ont également constaté que le prélèvement de cellules de la glande thyroïde grâce à une fine aiguille pour affiner le diagnostic avant l’intervention chirurgicale, était sous-utilisé en Belgique, et ce, dans les trois régions. Cette technique est pourtant reconnue actuellement comme la meilleure méthode d’évaluation, même si elle n’est pas parfaite. Elle permet d’éviter les chirurgies inutiles tout en orientant adéquatement les patients ayant une tumeur vers la chirurgie.


Risque de sur-diagnostic et de sur-traitementIl y a donc une forte probabilité que les différences régionales soient liées à une utilisation différente des techniques de diagnostic et de traitement. Néanmoins, une étude plus approfondie reste nécessaire, de façon à différencier l’impact d’autres facteurs tels que le type de médecins et d’hôpitaux qui traitent les patients.

La détection précoce de petites tumeurs n'est pas nécessairement un avantage pour le patient. Le risque de sur-diagnostic et de sur-traitement est réel : de nombreuses tumeurs, détectées à un stade précoce, ne se seraient probablement jamais développées et n’auraient pas nécessité de traitement. L'augmentation des cas de cancer de la thyroïde n'est d’ailleurs pas corrélée avec une augmentation du nombre de décès. Mais leur prise en charge entraîne des traitements lourds et affecte la qualité de vie du patient.


Améliorer la diffusion et le suivi des recommandations de bonne pratiqueCes différences régionales, dans certains cas non justifiées, doivent être évitées. Notamment par une diffusion des recommandations internationales pour la prise en charge des maladies thyroïdiennes, par un recours plus fréquent aux méthodes reconnues d’évaluation pré-opératoire, et par un suivi de ces recommandations.

(Source: Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé) 

Réforme de la profession d'agent immobilier


La profession d'agent immobilier est réformée et reçoit une réglementation particulière. Jusqu'à présent, la profession d'agent immobilier était régie par la loi-cadre relative aux professions intellectuelles prestataires de services (*). Cela change désormais suite à l'approbation par le Conseil des ministres de l'avant-projet de loi proposé par la ministre des Classes moyennes, des PME et des Indépendants Sabine Laruelle.
Les principaux éléments de la réforme sont les suivants :
une différenciation est faite entre les agents immobiliers syndics et agents immobiliers intermédiaires. Ces deux catégories pourront faire l’objet d’obligations spécifiques, en termes d’assurance responsabilité professionnelle, de capital minimal ou de formation professionnelle ;
des sanctions lourdes sont expressément prévues dans la loi, en cas de détournement par le syndic et l’intermédiaire ;
des dispositions sont prises afin de faciliter l’accès pour le plaignant, voire pour les tiers, des éléments d’une décision disciplinaire prise à l’encontre d’un agent immobilier ;
au niveau des chambres exécutives, il est désormais possible de désigner plusieurs assesseurs juridiques afin d'accélérer le déroulement des procédures disciplinaires ;
il est également possible de limiter la responsabilité professionnelle dans le cadre de l’exercice en société de l’activité ;
les règles minimales de déontologie sont complétées par l’obligation d’informer immédiatement le client et l'Institut professionnel des agents immobiliers (IPI) de toute situation de conflit d’intérêt ;
les règles de l’arrêté royal du 6 septembre 1993 protégeant le titre professionnel et l’exercice de la profession d’agent immobilier restent d’application pour ce qui concerne les exceptions dont bénéficient les personnes qui exercent une des activités d’agents immobiliers en vertu des dispositions légales ou réglementaires ou d'usages professionnels constants ;
la loi-cadre reste d'application pour ce qui concerne le cadre légal des structures internes de l'IPI.
L'avant-projet est transmis pour avis au Conseil d'Etat.

(Source: Service de presse de Mme Sabine Laruelle, ministre des Classes moyennes, des PME, des Indépendants et de l'Agriculture) 

Conditions de l'organisation de paris par la Loterie Nationale


Sur proposition du ministre des Finances Steven Vanackere et de la ministre de la Justice Annemie Turtelboom, le Conseil des ministres a approuvé un projet d'arrêté royal qui fixe les conditions de l'organisation de paris par la Loterie Nationale.
Le projet donne la possibilité à la Loterie Nationale d'acquérir une licence de classe F1 afin de pouvoir organiser des paris, conformément à la loi sur les jeux de hasard.
Cette mesure permet à la Loterie Nationale d'avoir des conditions de concurrence identiques à celles des détenteurs de licence F1, en ce qui concerne les règles de fonctionnement et le contrôle des paris.
Le projet est transmis pour avis au Conseil d'Etat.

Source:
Service de presse de M. Steven Vanackere, Vice-Premier ministre et ministre des Finances et du Développement durable, chargé de la Fonction publique

Marchés publics pour la Défense


Sur proposition du ministre de la Défense Pieter De Crem, le Conseil des ministres a autorisé le lancement de procédures ou la conclusion de marchés publics :

le lancement d'un marché ouvert pluriannuel (2013-2016) pour la mise à disposition de personnel technique expérimenté et qualifié dans les unités logistiques de la Composante marine ; le lancement d'un marché ouvert pluriannuel (2012-2015) pour l'entretien de la Overhead Weapon Station (OWS) DF30 de la version AIV (Armored Infantry Vehicle) DF30, les instruments optiques de la tourelle DF90 de la version AIV DF90 et des moyens d'observation de toutes les versions AIV PIRANHA IIIC ; le lancement d'un marché public pluriannuel (2012-2016) pour la formation initiale et l'entraînement récurrent des équipages NH90 NFH (Full Flight Simulator + Virtual System Trainer) ; la conclusion d'un contrat avec la firme TOTAL Belgium S.A. pour l'acquisition et la livraison de carburant pour avions à moteurs à réaction F-35, à introduire dans le Central European Pipeline System (CEPS) et destiné à couvrir les besoins de la Défense et des tiers, estimés à 47.500 m³ par an en 2012 et 2013.

(Source: Service de presse de M. Pieter De Crem, ministre de la Défense )

mercredi 2 mai 2012

Vessix Vascular, Inc.:Vessix obtient le marquage CE pour son système de dénervation rénale V2 Renal Denervation System™ pour le traitement de l'hypertension


La sonde à ballonnet et à radiofréquence (RF) brevetée administre le traitement en moins d'une minute
LAGUNA HILLS, Californie, 1er mai 2012 /PRNewswire/ -- Vessix Vascular, Inc., concepteur de nouvelles technologies pour sonde percutanée à ballonnet et à radiofréquence (RF) pour le traitement de l'hypertension, a annoncé aujourd'hui que son système V2 Renal Denervation System™, prévu pour le traitement de l'hypertension, a obtenu le marquage de Conformité Européenne (CE). La dénervation rénale est un traitement percutané qui s'effectue à l'aide d'une sonde et qui utilise l'énergie RF pour détruire les nerfs sympathiques rénaux dont l'hyperactivité engendre une hypertension non contrôlée. 
Le marquage CE permet à Vessix de commercialiser son système V2 sur le marché européen. La certification CE a été attribuée à Vessix par son organisme notifié, BSI Group, également connu sous le nom de British Standards Institution.
« Vessix propose une approche unique du traitement de l'hypertension non contrôlée qui fournit d'excellents résultats cliniques. Ce système est plus rapide, plus facile d'utilisation et moins douloureux pour le patient que n'importe quel autre système de dénervation rénale actuellement disponible sur le marché », a déclaré le PDG Raymond W. Cohen. « Après huit ans passés à améliorer les technologies pour sondes à ballonnet et à RF et générateurs RF bipolaires, il est gratifiant de voir que le système V2 fonctionne correctement dans le cadre d'un usage clinique pour réduire la tension des patients en toute sécurité. Dans le cadre de notre stratégie de commercialisation, Vessix a débuté une étude de surveillance du marché post-approbation au cours de laquelle nous envisageons de traiter 120 patients dans près de 20 centres internationaux à travers toute l'Europe occidentale ». 
L'hypertension est la plus grande cause de décès dans le monde. Selon l'American Heart Association, une réduction de 5 mm Hg (millimètres de mercure) de la tension artérielle systolique conduit à une diminution de 14 pour cent du nombre d'AVC, de 9 pour cent du nombre de cardiopathies et de 7 pour cent de la mortalité globale. Comme démontré dans la publication de plusieurs études cliniques, la dénervation rénale est une méthode sûre, durable et efficace pour diminuer la tension artérielle systolique d'environ 20 pour cent. 
Michael D. Gioffredi, directeur de la commercialisation de Vessix, a déclaré : « La dénervation rénale est en passe de devenir l'une des conceptions de dispositifs médicaux les plus importantes depuis des décennies et nous sommes convaincus que notre design unique permettra d'établir une nouvelle norme pour le traitement. Grâce à cette approbation des organismes de régulation et aux solides résultats cliniques obtenus lors de notre étude pilote multicentrique en Europe, nous nous rapprochons de nos objectifs de commercialisation en Europe et sommes impatients de partager des données précliniques et humaines supplémentaires lors de conférences médicales organisées pour ce lancement ».
Vessix présentera les premiers résultats de l'étude clinique à la conférence EuroPCR organisée à Paris du 15 au 18 mai
Lors de la conférence EuroPCR de 2012, Vessix présentera les résultats cliniques intermédiaires obtenus sur des patients souffrant d'une hypertension non contrôlée lors de son étude clinique pilote REDUCE-HTN. 


Le professeur Uta Hoppe, M.D., de l'université de médicine Paracelsus de Salzburg en Autriche, présentera les données d'efficacité et d'innocuité du traitement collectées pendant un mois auprès de patients qu'elle traitait à Paracelsus ainsi que d'autres patients traités à l'hôpital Georges Pompidou à Paris et à OLV Ziekenhuis à Alost en Belgique. Sa présentation aura lieu lors de la conférence sur « Les technologies interventionnelles émergentes pour le traitement de l'hypertension récalcitrante » qui se tiendra le jeudi 17 mai entre 8h00 et 10h20 heure locale, Salle 241 du Palais des Congrès de Paris.
Retrouver Vessix lors de la conférence EuroPCR 2012 
Vessix exposera son système V2 Renal Denervation System au stand M72.
Le PDG de Vessix, Raymond W. Cohen présentera également les innovations cardiovasculaires concernant la dénervation rénale le mercredi 16 mai à 15h00 heure locale, Salle 351.
À propos du marché de la dénervation rénale 
Les analystes du secteur estiment que plus de 12 millions de patients dans le monde, souffrant d'une tension incontrôlable, prennent trois hypotenseurs ou plus. Ces patients représentent une opportunité pour la dénervation rénale de conquérir le marché mondial et de générer jusqu'à 30 milliards de dollars américains.
À propos du système de dénervation rénale V2 de Vessix
Le système V2 pour le traitement de l'hypertension non contrôlée est une sonde à ballonnet transmis sur fil qui dispose d'un réseau d'électrodes RF monté selon un schéma précis afin de fournir une petite dose d'énergie RF, le but étant de détruire les nerfs rénaux situés sur l'adventice qui entoure l'artère rénale. La sonde à ballonnet et à RF brevetée se branche à un générateur RF bipolaire de marque déposée spécifiquement conçu et optimisé pour la dénervation rénale. Le traitement est administré via une sonde à ballonnet, dont les chirurgiens cardiaques et autres médecins ont l'habitude, augmentant ainsi l'utilisabilité et l'innocuité du dispositif. La sonde à ballonnet V2 interrompt le flux sanguin de l'artère rénale pendant l'administration du traitement RF de 30 secondes, ce qui permet de diriger un flux d'énergie thermique hautement contrôlé sur les nerfs ciblés. Ainsi, le V2 est relativement plus rapide, en termes de débit, que les autres systèmes de dénervation rénale actuellement sur le marché. Une durée de traitement RF rapide augmente grandement l'efficacité de la procédure de dénervation et apporte des avantages en termes d'innocuité au médecin en charge de la procédure. Cela bénéficie également au patient puisque cela réduit la quantité de produit de contraste utilisé et l'exposition aux radiations. À propos de Vessix Vascular, Inc.

Créée en 2003, Vessix est une entreprise privée qui développe de nouvelles technologies pour les sondes à ballonnet et à RF et les générateurs de RF. L'entreprise est soutenue par des sociétés européennes et américaines de capital risque de classe mondiale, dont NeoMed Management, Edmond de Rothschild Investment Partners et OrbiMed Advisors LLC. Pour de plus amples informations sur Vessix Vascular, veuillez vous rendre sur le site internet de l'entreprise au www.vessixvascular.com ou contacter Matt Clawson d'Allen & Caron Inc au +1-949-474-4300 ou par e-mail sur matt@allencaron.com.
( Belga)

Groupe Fountain : Trading Update 1er trimestre 2012


Les résultats du Groupe Fountain au 31 mars 2012 présentent un chiffre d’affaires en hausse significative par rapport à la même période de l’exercice précédent. Ce chiffre d’affaires comprend 3 mois d’activités des 2 sociétés FG2 s.a.s. et Française des Eaux s.a.s. acquises au 1er juin 2011 ainsi que l’impact des acquisitions de portefeuille de clientèles effectués en cours d’exercice 2011 tel qu’indiqué dans le rapport annuel au 31 décembre 2011.

L’intégration des 2 sociétés françaises FG2 s.a.s. et Française des Eaux s.a.s. actives respectivement sur les régions de Lyon et Nancy en France, acquises au 1er juin 2011, se poursuit avec un certain décalage par rapport au planning initial, et les synergies de développement initialement prévues devraient progressivement se concrétiser au second semestre 2012.

Par ailleurs, le Groupe poursuit le déploiement de son système informatique dans ses filiales afin d’optimiser ses méthodes de gestion. Ainsi, le passage des sociétés FG2 et Française des Eaux à SAP est maintenant en cours de préparation pour fin 2012.

En date du 19 avril 2012, la société Fountain France s.a.s. a acquis les 50% d’actions de la société Fountain Soleil qui n’étaient pas encore détenus par le Groupe de sorte que Fountain Soleil lui appartient dorénavant à 100%.

Par ailleurs, le groupe a mis en œuvre un plan d’actions dynamique visant à développer ses ventes notamment par une gestion de la clientèle davantage orientée sur les besoins, par la mise en place d’outils marketing plus ciblés, par la refonte de ses sites internet clients et prospects et par l’extension de son offre à des produits et services complémentaires. Cette extension de l’offre comprend principalement la distribution automatique déjà en cours de concrétisation, une approche personnalisée destinée aux organisations multi-sites et aux comptes à réseaux, et de nouvelles solutions en café expresso et grains.
Enfin, l’entrée en fonction au 2 avril 2012 de Paul Baeck en tant que nouveau CEO du groupe permettra d’accélérer ce plan d’actions de développement des ventes et de l’insérer dans une stratégie de croissance redynamisée. Suite à son arrivée, une analyse approfondie de l'activité à été lancée. Elle servira de base à l'élaboration de ce nouveau plan stratégique qui sera présenté au conseil d'administration dans les prochains mois.

Le Conseil d’Administration est confiant dans les perspectives de croissance de chiffre d’affaires et tout particulièrement dans le succès de la nouvelle offre de services en distribution automatique ainsi que dans l’intégration des nouvelles entités dans le groupe. Sur cette base, il confirme prévoir une évolution positive de la situation financières et des résultats du Groupe en 2012.

Le Groupe reste toujours attentif à toute opportunité de croissance externe essentiellement sur les marchés hollandais et français.

Profil
LE GROUPE FOUNTAIN, PRÉSENT ESSENTIELLEMENT EN FRANCE, EN BELGIQUE ET AUX PAYS BAS, COMMERCIALISE DIFFÉRENTES SOLUTIONS DE CAFÉ ET AUTRES BOISSONS CHAUDES DESTINÉES  PRINCIPALEMENT AUX ENTREPRISES. ACTUELLEMENT, 82% DE SON CHIFFRE D’AFFAIRES EST RÉALISÉ À TRAVERS SON PROPRE RÉSEAU DE DISTRIBUTION.


CMNE Belgium finalise la reprise de Citibank Belgium S.A.


Bruxelles, le 1er mai 2012 – CMNE Belgium, filiale du Crédit Mutuel Nord Europe, Lille, France, a annoncé aujourd’hui avoir finalisé avec succès la reprise de Citibank Belgium S.A., filiale belge de Citigroup en date du 30 avril 2012.
Crédit Mutuel Nord Europe (CMNE) est la plus grande banque du Nord de la France, avec 300 agences, prés de 1.200.000 clients et  4000 collaborateurs. 

La reprise concerne l'ensemble des activités de la banque de détail de Citibank en Belgique, qui comprend actuellement 194 points de vente, 500.000 clients, 700 collaborateurs. En décembre 2011, le total de ses actifs était de 3 milliards EUR. Les conditions de la vente n’ont pas été révélées.

Déjà actionnaire du Groupe BKCP, la reprise de Citibank Belgium S.A. reflète la stratégie de croissance de CMNE en Belgique ; elle lui permettra de diversifier l’offre de ses produits et d’agrandir considérablement son réseau.

« Cette reprise est une étape importante de la mise en œuvre de notre stratégie de croissance en Belgique », explique Jacques Favillier, Administrateur Directeur du CMNE Belgium et futur CEO de Citibank Belgium S.A. « La Belgique est, en effet, pour nous, d’une importance capitale: Citibank Belgium apporte à CMNE l’opportunité de renforcer son pouvoir de distribution, en lui permettant de tripler sa base clientèle et d’offrir une plus large gamme de produits. Citibank Belgium peut compter sur le soutien total de son nouvel actionnaire pour redynamiser ses équipes et mettre à disposition de ses clients des services et des produits de qualité. Je me réjouis de travailler avec des femmes et des hommes de talent qui ont joué un rôle essentiel dans le succès de la banque jusqu’ici. »

CMNE est déjà très actif sur le marché belge avec la Banque BKCP, qui a un réseau de 70 points de vente dans le pays. La reprise de Citibank Belgium S.A. viendra compléter l’offre du BKCP pour  proposer au marché une gamme complète allant du crédit à la consommation jusqu’au crédit hypothécaire et au crédit d’investissement. Eric Charpentier, Directeur Général de CMNE confirme: « En capitalisant sur les forces respectives des deux banques, CMNE  va devenir un acteur significatif sur le marché belge ».

Pour le moment, le logo et la marque Citibank continueront à être utilisés dans toute communication officielle  avec les clients ainsi que sur les produits et le marketing  – il est prévu que le nom, la marque et les enseignes soient modifiés en 2013.

Dans le cadre de cette transaction, CMNE Belgium a été conseillé par Société Générale.
( Belga )