2012 :
L’année où les révolutions sociales et mobiles vont s’accentuer. E-net
Business fait le point sur ce phénomène de société: Facebook, Twitter, Google
+, Viadeo, LinkedIn,...
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L'agence
namuroise d'e-communication E-net Business a recoupé une série de chiffres
clés en apportant son analyse sur les phénomènes sociaux comme Facebook,
Twitter, Google +, Viadeo, LinkedIn,... La plupart des chiffres sont
actualisés au 15 janvier 2012.
Facebook: La Belgique est 32ème mondiale !
Facebook, c’est 796.506.640 utilisateurs dans plus de 200 pays différents.
"Facebook doit dépasser le 1 milliard d’abonnés en été 2012."
explique Nicolas Pourbaix, expert dans le social média. Dans le TOP mondial,
la Belgique se situe à la 32ème place avec pas moins de 4.444.920 d’internautes
belges connectés à Facebook ce qui représente 59 % des internautes. Sur 6
mois (D’août 2011 à Janvier 2012), la croissance en Belgique est de 4,56 % de
nouveaux utilisateurs soit 194.000 unités. En ce début d’année, la parité
belge Homme / Femme est toujours équilibrée. Un peu plus de 25,00 %
d’utilisateurs qui sont âgés entre 25 et 34 ans. Plus d’infos sur notre site
Internet : www.e-net-b.be.
Twitter : Des millions de tweets
Twitter permet la diffusion de petits messages de maximum 140 caractères
(Appelés des Tweets). Le service de microblogage Twitter connait un succès
auprès d’un certain public comme les personnalités avec plus de 135 millions
d’utilisateurs. Twitter trouve de bons relais auprès des médias. Début 2012,
Lady Gaga reste la plus populaire de Twitter avec un nombre de Followers de
près de 18 millions. Les Followers sont en fait les abonnés des comptes
Twitter. Tout juste derrière, Justin Bieber qui comptabilise 16 359 539
Followers.
2012
: Le moteur Google vient en aide à Google + ?
Lancé en été 2011, le réseau social Google + affiche une performance mitigée.
La plateforme compte aujourd’hui 40 millions d’utilisateurs en ce début
d’année 2012. Près de la moitié des utilisateurs de Google + avait été
réalisée sur ses 15 jours de lancement.
Google ne jette pas le gant pour autant ! Le moteur de recherche Google a mis
en place un grand changement le 10 janvier 2012 : Une personnalisation de la
recherche encore plus poussée grâce aux réseaux sociaux. "Cette
évolution du moteur de recherche est un moyen d’aider Google + à mieux se
positionner dans le paysage des réseaux sociaux." explique Nicolas
Pourbaix, expert du web social.
LinkedIn et Viadeo : Les réseaux professionnels
Deux réseaux sociaux pour les professionnels se distinguent : LinkedIn
(Américain) et Viadeo (Européen). Le nombre d’utilisateurs connecté à
LinkedIn s’éleve à 133.981.398 internautes contre 40 millions pour Viadeo. En
Belgique, LinkedIn affiche un nombre d’un peu plus d’un million de belges
(1.034.675 unités) avec une moyenne d’âge de 44 ans. Une étude révèle que 47
% des Directeurs des Ressources Humaines (DRH) se servent des réseaux sociaux
comme Viadeo / LinekdIn dans le cadre des recrutements.
Comment adopter une stratégie sociale média efficace en 2012 ?
Être présent sur Twitter, avoir une page FAN sur Facebook,… ou sur n’importe
quel autre réseau social n’est pas un objectif en soi. Cette démarche doit
s’inscrire dans une stratégie globale. Pour réussir durablement, on constate
qu’il faut d’abord créer le site Internet selon des objectifs précis et le
comportement de vos visiteurs (Ou clients) pour ensuite développer une
stratégie sociale média. "Exemple concret, dans le cadre de la vente en
ligne, les voyages SNCF ont intégré sur le site Internet un bouton permettant
de partager sur Facebook dès qu’un internaute avait terminé de commander un
ticket." explique Nicolas Pourbaix, expert en réseaux sociaux. Il ajoute
: "La SNCF a constaté qu’un partage de l’information sur Facebook sur 6
générait
une vente !."
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mercredi 18 janvier 2012
Les réseaux sociaux : Chiffres 2011 / 2012 et analyse d’experts
Résultats de l’Observatoire de l’Automobile 2012 sur les voitures électriques
Les
Européens sont convaincus par la voiture électrique et un Belge sur trois est
prêt à s’offrir une voiture « verte ».
Telles sont les grandes lignes d’une large étude européenne de l'Observatoire
de l'Automobile. Menée dans dix pays européens (France - Espagne - Portugal -
Italie - Belgique - Allemagne - Royaume-Uni - Pologne - Turquie et Russie),
l’Observatoire de l’Automobile a sondé plus de 6 000 européens sur l’intérêt
qu’ils portent à la voiture électrique. Une étude qui passe au
crible la voiture «verte » : confort de conduite, autonomie, entretien,
pollution, prix ….
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La voiture
électrique séduit les Européens.
Parmi les enseignements majeurs, on pointera que 41% des Européens envisagent
l’acquisition d’une voiture électrique, en Belgique ils sont 33%. Au niveau
Européen, 71% des personnes interrogées se déclarent intéressées par le
véhicule électrique (65% en Belgique). Et au final, 57% des Européens
intéressés (50% des Belges) manifestent des intentions d’acquisition.
Parmi les aspects positifs de la voiture électrique, on notera que l’absence
de bruit est perçue comme un atout incontestable puisque 73% des Européens
considèrent que ce sera une source de stress en moins.
Côté budget : 64% des interrogés pensent qu’avec le véhicule électrique, il
sera possible de faire des économies à l’usage.
La voiture 100% électrique = voiture propre.
84% des Européens interrogés (77% en Belgique) considèrent que le véhicule
électrique est la meilleure solution d’avenir pour protéger l’environnement.
Même avec de l’électricité d’origine nucléaire, l’utilisation d’un véhicule
électrique est, à leurs yeux, d’un point de vue environnemental, préférable à
celle d’un véhicule thermique pour 60% d’entre eux. Cependant, 52% des
Européens (54% des Belges) sont conscients que la remise en cause du
nucléaire pourrait hypothéquer l’avenir du véhicule électrique.
Prix et autonomie : 2 freins à lever.
En dépit d’une bonne image, les Européens restent freinés par le prix et la
faible autonomie de la voiture électrique. 49% des Européens interrogés
n’envisagent aucun effort financier pour acquérir un véhicule électrique. Et
seulement un quart d’entre eux se déclarent prêts à payer ce type de
véhicule jusqu’à 10% plus cher que son équivalent thermique. Quant à l’idée
de la location de la batterie, elle ne rencontre toujours pas de succès :
seuls 37% des Européens envisagent une telle solution. L’autonomie des
batteries est l’autre point problématique. Paradoxalement, si 82% des Européens
(80% des Belges) font moins de 100 km par jour, 55% d’entre eux (59% des
Belges) n’envisagent pas l’achat d’un véhicule ayant une autonomie inférieure
à 250 km. Dès lors, la mise en place de bornes de recharge rapide sur la voie
publique est considérée comme indispensable : 90% des Européens souhaitent
voir des bornes de recharge fleurir sur la voie publique. Enfin, 64% des
Européens et 69% des Belges estiment que les pouvoirs publics n’aident pas
suffisamment la filière.
La voiture électrique est attendue par les Européens. Elle bénéficie d’une
très bonne image et ceux qui l’ont testée** dans le cadre de l’étude, le 5
octobre dernier sur les routes d’Ile de France, sont unanimes : c’est un
véhicule très agréable à conduire. Aujourd’hui, chacun s’accorde à dire
qu’elle sera la solution d’avenir. C’est le moment d’accélérer pour les
acteurs du marché. La clef de la réussite passe par la pédagogie.
En effet, pour lever les freins « prix et autonomie », il est nécessaire de
bien expliquer les enjeux et de faire évoluer la perception de l’automobile :
alors que la distance parcourue chaque jour est inférieure à 100 km, faut-il
forcément être propriétaire de sa voiture?
Et faut-il continuer à envisager le coût uniquement par son prix
d’acquisition ? … Le sujet tourne donc désormais autour du concept de
mobilité dans lequel la voiture électrique occupera sans nul doute une place
primordiale.
** test grandeur nature réalisé le 5 octobre 2011 : 50 utilisateurs
sélectionnés par TNS Sofres accompagnés d’entretiens qualitatifs.
Tous
les résultats de l’Observatoire de l’Automobile 2012 sur
www.alphacredit.be/survey.php
A propos de l’Observatoire de l’Automobile :
Cette édition est consacrée à une analyse approfondie de la voiture électrique
et des attentes des Européens en la matière. Cette étude a été menée dans 10
grands pays européens. Menée avec le BIPE et TNS Sofres, l’étude a été
réalisée durant l’automne 2011, auprès d’un échantillon de 6 000 personnes,
représentatif de la population des 10 pays concernés. Cette étude
quantitative a été complétée par une étude qualitative le 5 octobre dernier
menée auprès de 50 personnes sélectionnées par TNS Sofres pour tester la
voiture électrique. 25 véhicules ont été mis à la disposition de cet
échantillon d’automobilistes et des entretiens qualitatifs ont été menés par
TNS Sofres à l’issue de ce test grandeur nature.
A propos d’AlphaCredit :
AlphaCredit, filiale de BNP Paribas Fortis, est le leader du marché des
crédits à la consommation en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. Plus
de 1.000.000 de clients font chaque jour confiance à AlphaCredit.
AlphaCredit commercialise différents types de crédits à la consommation et ce
aussi bien pour BNP Paribas Fortis et la Banque de la Poste, que pour le
réseau de concessionnaires voitures et motos neuves ou d’occasion, les
courtiers de crédit BNP Paribas Fortis ainsi que le réseau de la grande
distribution. AlphaCredit est leader sur le marché du crédit à la
consommation automobile avec une part de marché de 21%. Elle distribue des
produits de crédits sous le nom de marques automobiles via des accords cadres
avec de grands constructeurs automobiles et par les réseaux de
concessionnaires indépendants.
(BNP Paribas Fortis)
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Atradius N.V.:Atradius pense que l'éclatement de la zone euro est improbable
AMSTERDAM, January 18, 2012 /PRNewswire
L'assureur-crédit Atradius N.V., l'un des leaders mondiaux de la gestion des
risques, a récemment publié une étude intitulée « Se serrer les coudes - le
futur de la zone euro », dans laquelle il évalue les conséquences d'un
éclatement de la zone euro qui seraient selon lui extrêmement graves tant sur
les pays qui quitteraient la zone euro que sur ceux qui continueraient à faire
partie de l'Union monétaire. Pour cette raison, Atradius pense que l'éclatement
de la zone est très improbable. En effet, un éclatement entraînerait une énorme
contraction du PIB, des dévaluations monétaires et une inflation dans tous les
pays « sortants » de l'euro. Par ailleurs, compte tenu des importantes
imbrications économiques et financières au sein de la zone euro, l'impact sur
les pays qui resteront au sein de l'UEM serait également très
grave.
L'étude d'Atradius confirme de plus, que tout plan de
consolidation de l'euro et de l'UEM implique impérativement la résolution des
déséquilibres fondamentaux au sein de l'Union. Le sauvetage de la zone euro
passe par une diminution des niveaux d'endettement, des déséquilibres
commerciaux et des grandes divergences au sein de la zone euro en matière de
croissance de productivité. Nombre d'outils sont déjà utilisés par les
dirigeants européens pour lutter contre ces problèmes, mais le processus sera
progressif et pénible, en particulier pour les Etats-membres de la périphérie de
la zone, qui seront particulièrement pénalisés par les mesures d'austérité et
les réformes.
Bien que le chemin à parcourir comporte de nombreux
obstacles, les conséquences financières d'un éclatement de la zone euro seraient
plus dramatiques encore. Selon Atradius les conséquences, très graves d'une
telle issue, devraient inciter les pays à se serrer les coudes et préserver
l'intégrité de la Zone euro.
John Lorié, Chief Economist d'Atradius N.V.
confiait, « nous pensons que les politiques vont parvenir à juguler la crise
progressivement, peut-être à contrecœur. Les Etats membres de la périphérie de
la zone vont être confrontés à des mesures d'austérité et des réformes. Comme la
Banque Centrale Européenne (BCE) devrait continuer à fournir les liquidités
nécessaires au système bancaire, les tensions sur le marché interbancaire
devraient lentement s'atténuer et les conditions du marché financier se
stabiliser. Mais une récession dans la zone euro, quoique légère, semble
inévitable en 2012. »
Kris Peeters encourage le cyclisme propre aux Velofollies
Le samedi 21 janvier à 14 heures, le coup d’envoi de
la campagne « Ik fiets proper » sera donné par le ministre-président flamand,
Kris Peeters, dans le cadre des Velofollies.
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Ce salon national consacré au cyclisme aura lieu du
20 au 22 janvier, à Kortrijk Xpo, et sera l’occasion de découvrir les
derniers modèles de bicyclettes pour la nouvelle saison. Plus de deux cents
exposants y présenteront leur gamme de vélos, accessoires et vêtements.
L’accent sera mis sur le vélo de course, mais les VTT et les modèles
électriques seront également de la partie à Courtrai. Le fabricant italien de
composants Campagnolo y présentera notamment pour la première fois en
Belgique sa transmission électronique EPS et un parcours d’essai sera aménagé
pour les vélos électriques.
Outre les bicyclettes, les accessoires et vêtements occupent une place de plus en plus grande lors de cet événement. Le salon attachera beaucoup d’importance à ces aspects, avec notamment des matériaux ultralégers, des vêtements de compression, des tenues sportives très tendance et des modèles pour femmes, car celles-ci sont chaque année plus nombreuses à pratiquer ce sport. D’autre part, une foule de coureurs et de champions seront également au rendez-vous, tels que Sven Nys, qui vient de remporter le titre de champion de Belgique. Mais bon nombre de politiciens ont aussi un faible pour la petite reine. C’est ainsi que le coup d’envoi de la campagne « Ik fiets proper » sera donné par le ministre-président flamand, Kris Peeters, le samedi 21 janvier à 14 heures, dans le cadre des Velofollies. « Ik fiets proper » est une campagne de sensibilisation qui encourage les cyclistes à pratiquer leur sport en respectant l’environnement, en observant le Code de la route et en évitant tout produit dopant. Enfin, les Velofollies accueilleront cette année les Championnats d’Europe de BMX indoor et une tentative de nouveau record du monde de distance parcourue en 24 h en indoor cycling. Les Velofollies 2012 se tiendront du 20 au 22 janvier 2012, à Kortrijk Xpo (B). Une entrée coûte 11 € pour les adultes et 6 € pour les enfants de moins de 12 ans. Plus d’infos : www.velofollies.be |
Avec Alpha-D3-Fogging offre une solution à la diffusion des germes résistants
Les CPE se propagent dans
les hôpitaux belge à une vitesse alarmante. Au cours des 10 premiers mois de
2011, des épidémies CPE ont été constatées dans pas moins de 3 hôpitaux et des
cas sporadiques dans une douzaine d’institutions. La forte augmentation de
bactéries est inquiétante sachant que le traitement du patient est très limité.
Peu d’antibiotiques sont actifs contre les CPE, rapporte le Conseil Supérieur
de la Santé. Dès lors, le Conseil insiste à prendre des mesures urgentes et précises
contre la diffusion de telles bactéries dans les hôpitaux belges. (source
Belga). Alpheios est la seule entreprise sur le
marché disposant d’une méthode de désinfection validée permettant de
tuer des bactéries à grande échelle. Grâce à cette méthode, la désinfection de
chambres de patients est une futilité.
En collaboration avec des scientifiques et des institutions renommés au niveau international, Alpheios a développé une méthode de désinfection avancée basée sur la nébulisation de de peroxyde d’hydrogène. Cette méthode a été validée et agréée par le “SPF, santé publique, sécurité de la chaîne alimentaire et environnement” pour l’application au sein des soins de santé en Belgique en ce qui concerne la lutte contre les bactéries. La méthode permet une maîtrise plus efficace, plus rapide et meilleur marché des bactéries, telles que les CPE, dans les institutions de soins. Les locaux infectés sont désinfectés en quelques heures et immédiatement prêts à être utilisés. Cela rapporte aux institutions de soins des économies considérables, ainsi que la certitude que la chambre ait été intégralement désinfectée.
Depuis l’introduction de Alpha-D3-Fogging, il y a deux ans, l’appareil a été mis en place dans plus de 20 institutions et hôpitaux différents en Belgique et aux Pays-Bas pour la lutte contre les bactéries (parmi lesquelles la bactérie MRSA et Clostridium Difficile). En pratique, les chambres et les locaux infectés peuvent être désinfectés sur demande par des employés d’Alpheios formés. Des professionnels viennent prester ce service avec un équipement spécial à un tarif horaire. Alpheios offre également la possibilité d’acquérir ce système. Dans ce cas, le prix inclut la formation des opérateurs. Avec cette méthode, Alpheios propose une contribution de grande valeur concernantla problématique des infections dans les soins de santé.
En collaboration avec des scientifiques et des institutions renommés au niveau international, Alpheios a développé une méthode de désinfection avancée basée sur la nébulisation de de peroxyde d’hydrogène. Cette méthode a été validée et agréée par le “SPF, santé publique, sécurité de la chaîne alimentaire et environnement” pour l’application au sein des soins de santé en Belgique en ce qui concerne la lutte contre les bactéries. La méthode permet une maîtrise plus efficace, plus rapide et meilleur marché des bactéries, telles que les CPE, dans les institutions de soins. Les locaux infectés sont désinfectés en quelques heures et immédiatement prêts à être utilisés. Cela rapporte aux institutions de soins des économies considérables, ainsi que la certitude que la chambre ait été intégralement désinfectée.
Depuis l’introduction de Alpha-D3-Fogging, il y a deux ans, l’appareil a été mis en place dans plus de 20 institutions et hôpitaux différents en Belgique et aux Pays-Bas pour la lutte contre les bactéries (parmi lesquelles la bactérie MRSA et Clostridium Difficile). En pratique, les chambres et les locaux infectés peuvent être désinfectés sur demande par des employés d’Alpheios formés. Des professionnels viennent prester ce service avec un équipement spécial à un tarif horaire. Alpheios offre également la possibilité d’acquérir ce système. Dans ce cas, le prix inclut la formation des opérateurs. Avec cette méthode, Alpheios propose une contribution de grande valeur concernantla problématique des infections dans les soins de santé.
(Belga)
Atradius Collections:Le système Collect@Net 3.0 d'Atradius Collections entre en service aujourd'hui
AMSTERDAM, January 16, 2012 /PRNewswire
Atradius Collections, expert mondial en matière de
recouvrement de dettes domestiques et internationales, lance la troisième
version de Collect@Net, le plus important système de communication et de
gestion du recouvrement de dettes en ligne.
Cette nouvelle version a entrepris une remodélisation majeure en termes de fonctionnalité et d'apparence générale, résultant en une interface offrant un niveau supérieur de simplicité et d'efficacité aux entreprises gérant leurs cas de recouvrement en ligne. « La transparence représentait une demande majeure constamment évoquée par nos clients », a déclaré Ralph van Dijk, Directeur commercial chez Atradius Collections. « Se basant sur nos recherches et les réactions de nos clients au cours des trois dernières années, la nouvelle version de Collect@Net a été conçue dans le but d'offrir un niveau supérieur de transparence et de contrôle au client. » Certaines des améliorations incluent une section de reporting étendue et donc plus détaillée, des informations additionnelles spécifiques sur des études de cas, ainsi que de nouvelles fonctionnalités, telles qu'un outil de messagerie pour communiquer directement avec un agent de recouvrement. La version 3.0 sera également disponible en quatre langues supplémentaires, à savoir le suédois, le finlandais, le danois et le norvégien. Elle est déjà disponible en anglais, en allemand, en français, en italien, en néerlandais, en polonais, en hongrois, en tchèque, en espagnol et en portugais. À compter d'aujourd'hui, Collect@Net est le seul outil en ligne destiné au recouvrement international de dettes à être proposé en 14 langues. Collect@Net est un système en ligne intégré disponible 24h/24, 7j/7, d'Atradius Collections qui permet au client de gérer et suivre ses cas de recouvrement à l'échelle mondiale. Ce système est utilisé pour soumettre et suivre les cas de recouvrement, planifier des paiements ou des notes de crédit, télécharger des rapports de gestion ou contacter un agent de recouvrement directement. Plus de 70 % des clients d'Atradius Collections utilisent cet outil en ligne. À propos d'Atradius Collections Atradius Collections, une unité commerciale du Groupe Atradius, fournit des solutions efficaces, rapides et flexibles pour recouvrer des dettes commerciales domestiques et internationales. Grâce à un réseau mondial de spécialistes du recouvrement, d'avocats et de praticiens de l'insolvabilité dans le monde entier, Atradius Collections est au service de plus de 15 000 clients et traite en moyenne 100 000 dossiers par an. Plus de 85 années d'expérience dans le secteur de la gestion mondiale de crédits positionnent Atradius Collections en tant que leader mondial dans le domaine du recouvrement des créances d'entreprise à entreprise. |
Quand Alain Hubert préface "Des routes et des Hommes"...
"Des routes et des
Hommes", le livre....
Il y a à peine plus de 2 ans, rappelez-vous de ces deux frères Namurois, deux frères unis pour réaliser un projet hors du commun : un voyage en vélo à travers trois continents, sans intention de battre des records, mais bien de faire battre leur cœur.
Au fil des jours et des kilomètres, les expériences insolites, inattendues, ordinaires ou extraordinaires vont se succéder. Chaque jour apportant son lot de surprises, de rencontres, de visages.
Cette aventure fraternelle réduit la distance entre le cœur des hommes et nous rappelle que nos rêves ne sont pas faits pour être remisés au placard mais bien pour être ancrés, sans attendre, dans la réalité.
"Des routes et des Hommes", extrait :
1. Quelque chose à vous dire…
Ceci est l’histoire de deux Monsieur Tout Le Monde. Ils ont quitté travail, famille, amis afin de réaliser leur rêve : un voyage en vélo de plusieurs mois à travers plusieurs continents. Rien d’exceptionnel donc…
Cette histoire, c’est la nôtre. Celle de deux frères que beaucoup de choses opposent mais que l’essentiel pour réaliser un tel projet réunit. L’envie de découvrir et de rencontrer. Ensemble, nous réveillerons nos cinq sens pour capter l’air du temps, l’air du lieu. Le premier est rigoureux, organisé. Le second est plus va-comme-je-te pousse. Deux personnalités bien différentes mais complémentaires, deux frères qui se connaissent bien, indispensable clé pour réussir un tel pari.
Au départ, il y a une envie : celle d’effectuer un long voyage et de ne pas attendre pour le faire. De partir par nos propres moyens, avec notre propre force motrice. « By fair means » comme dit Sylvain Tesson, un écrivain-voyageur français. À armes égales avec la nature. Pour mieux sentir les pays traversés, les gens rencontrés. Pour mieux vivre les découvertes. Un éloge de la lenteur en quelques sortes. Parce que nous voulons voyager lentement, prendre le temps.
Il y a à peine plus de 2 ans, rappelez-vous de ces deux frères Namurois, deux frères unis pour réaliser un projet hors du commun : un voyage en vélo à travers trois continents, sans intention de battre des records, mais bien de faire battre leur cœur.
Au fil des jours et des kilomètres, les expériences insolites, inattendues, ordinaires ou extraordinaires vont se succéder. Chaque jour apportant son lot de surprises, de rencontres, de visages.
Cette aventure fraternelle réduit la distance entre le cœur des hommes et nous rappelle que nos rêves ne sont pas faits pour être remisés au placard mais bien pour être ancrés, sans attendre, dans la réalité.
"Des routes et des Hommes", extrait :
1. Quelque chose à vous dire…
Ceci est l’histoire de deux Monsieur Tout Le Monde. Ils ont quitté travail, famille, amis afin de réaliser leur rêve : un voyage en vélo de plusieurs mois à travers plusieurs continents. Rien d’exceptionnel donc…
Cette histoire, c’est la nôtre. Celle de deux frères que beaucoup de choses opposent mais que l’essentiel pour réaliser un tel projet réunit. L’envie de découvrir et de rencontrer. Ensemble, nous réveillerons nos cinq sens pour capter l’air du temps, l’air du lieu. Le premier est rigoureux, organisé. Le second est plus va-comme-je-te pousse. Deux personnalités bien différentes mais complémentaires, deux frères qui se connaissent bien, indispensable clé pour réussir un tel pari.
Au départ, il y a une envie : celle d’effectuer un long voyage et de ne pas attendre pour le faire. De partir par nos propres moyens, avec notre propre force motrice. « By fair means » comme dit Sylvain Tesson, un écrivain-voyageur français. À armes égales avec la nature. Pour mieux sentir les pays traversés, les gens rencontrés. Pour mieux vivre les découvertes. Un éloge de la lenteur en quelques sortes. Parce que nous voulons voyager lentement, prendre le temps.
Bien avant de donner le
premier coup de pédale, cette expérience est une remise en question. Une
introspection, un retour sur soi alors qu’on n’est même pas encore parti, une
réflexion sur notre manière de vivre, nos vies, nos priorités,… Un voyage,
aussi magnifique soit-il, aussi beau soit-il, vaut-il la peine de tout quitter
? Vais-je retrouver un travail une fois rentré ? Peut-être arrivera-t-il
quelque chose à un membre de notre famille, pendant notre absence ?
Peut-être arrivera-t-il quelque chose à moi ou à mon frère ? Vais-je y
arriver, physiquement, mentalement ?
Sortir des sentiers battus par les agences de voyage, par les tours opérateurs, c’est aller vers l’inconnu. Ce même inconnu qui, selon Antoine de Saint-Exupéry, épouvante, effraie, repousse, pousse à renoncer. Mais qui, en même temps, attire, nous attire. Tous les jours découvrir, se remettre en question, se (re)motiver. Tous les jours un nouveau départ... Bien sûr, ce ne sera pas tous les jours facile. On le sait, on le veut.
Nous voulons profiter de notre jeunesse. Nous voulons profiter de la vie. Simplement. Pleinement. Au départ, pour voir le monde. À la fin, surtout pour voir du monde.
Nous avons envie de saisir cette chance de réaliser ce rêve.
Au départ, le plus difficile est à faire: prendre la décision de partir. Faire une croix, temporaire, sur un emploi, la famille, les amis, le confort, l’habitude, le quotidien. Laisser tout ce qui est connu, acquis, tout ce qui derrière nous pour aller voir ailleurs.
Autre chose délicate : l’annoncer à nos parents. Leur annoncer que le fruit de leurs entrailles, les deux seuls fils, vont parcourir les routes pendant un an, avec les risques que cela comporte. Nous savons que la tâche sera âpre. Nous sommes conscients que cette aventure d’un an ne fait pas partie de leur vision de la vie.
Depuis quelques mois, nous travaillons à la concrétisation de notre périple. Une fois que nous avons bien avancé dans les préparatifs, nous nous décidons à leur annoncer la chose. Comment vont-ils réagir ? Nous savons que, dans un premier temps, nous allons les décevoir. Nous savons qu’ils ne vont probablement pas abonder dans notre sens.
Un soir comme les autres, entre le dîner et le film du soir, nous prenons notre courage à deux mains et décidons de leur annoncer notre intention de partir…
Sortir des sentiers battus par les agences de voyage, par les tours opérateurs, c’est aller vers l’inconnu. Ce même inconnu qui, selon Antoine de Saint-Exupéry, épouvante, effraie, repousse, pousse à renoncer. Mais qui, en même temps, attire, nous attire. Tous les jours découvrir, se remettre en question, se (re)motiver. Tous les jours un nouveau départ... Bien sûr, ce ne sera pas tous les jours facile. On le sait, on le veut.
Nous voulons profiter de notre jeunesse. Nous voulons profiter de la vie. Simplement. Pleinement. Au départ, pour voir le monde. À la fin, surtout pour voir du monde.
Nous avons envie de saisir cette chance de réaliser ce rêve.
Au départ, le plus difficile est à faire: prendre la décision de partir. Faire une croix, temporaire, sur un emploi, la famille, les amis, le confort, l’habitude, le quotidien. Laisser tout ce qui est connu, acquis, tout ce qui derrière nous pour aller voir ailleurs.
Autre chose délicate : l’annoncer à nos parents. Leur annoncer que le fruit de leurs entrailles, les deux seuls fils, vont parcourir les routes pendant un an, avec les risques que cela comporte. Nous savons que la tâche sera âpre. Nous sommes conscients que cette aventure d’un an ne fait pas partie de leur vision de la vie.
Depuis quelques mois, nous travaillons à la concrétisation de notre périple. Une fois que nous avons bien avancé dans les préparatifs, nous nous décidons à leur annoncer la chose. Comment vont-ils réagir ? Nous savons que, dans un premier temps, nous allons les décevoir. Nous savons qu’ils ne vont probablement pas abonder dans notre sens.
Un soir comme les autres, entre le dîner et le film du soir, nous prenons notre courage à deux mains et décidons de leur annoncer notre intention de partir…
Adrien se lance :
« Papa, maman, on a quelque chose à vous dire. Ce n’est ni une bonne ni une mauvaise nouvelle… ».
Suis alors une longue explication de notre projet. L’itinéraire, le moyen de transport, la durée, la date prévue du départ et du retour, le budget. Nous expliquons tout.
La réaction ne tarde pas. Négative comme on le craignait… Tout leur semble saugrenu.
« Vous êtes complètement fous ! », « C’est hors de question », « Vous ne partirez pas », « Vous avez fait des études, vous avez un bon travail », « Il est hors de question de tout abandonner pour ça ! ». Le choc est frontal. On savait que nos parents n’allaient pas sauter de joie à l’annonce de ce projet un peu fou, mais pas à ce point.
L’espace de quelques heures, nous nous demandons même si, finalement, ils n’ont pas raison. Si ce n’est pas un caprice de jeunes, occidentaux, nantis que nous sommes. Ne devrions-nous pas, plutôt que de penser à prendre du bon temps en voyageant, penser à des choses « sérieuses », aux trucs « importants » qui font la vie d’un adulte ? Avoir une belle carrière, une belle maison, une belle femme, de beaux enfants, une belle voiture,…
Nous reprenons bien vite nos esprits. Nous irons jusqu’au bout des choses ! Pour ne pas regretter de ne pas l’avoir fait. Pour vivre autre chose. Pour vivre, tout simplement, et ne pas s’emmerder. Parce qu’on n’a pas envie d’attendre. Attendre quoi d’ailleurs ?! Que les choses se présentent d’elles-mêmes, que les autres fassent des choix à notre place, que le métro-boulot-dodo se mette en place et nous oblige à oublier nos projets ? La vie est trop courte pour être petite. C’est maintenant ou beaucoup, beaucoup plus tard ! Ce n’est pas à 60 ans qu’on va entreprendre ce genre d’aventure… Quoique, ça se discute aussi ça !
« Papa, maman, on a quelque chose à vous dire. Ce n’est ni une bonne ni une mauvaise nouvelle… ».
Suis alors une longue explication de notre projet. L’itinéraire, le moyen de transport, la durée, la date prévue du départ et du retour, le budget. Nous expliquons tout.
La réaction ne tarde pas. Négative comme on le craignait… Tout leur semble saugrenu.
« Vous êtes complètement fous ! », « C’est hors de question », « Vous ne partirez pas », « Vous avez fait des études, vous avez un bon travail », « Il est hors de question de tout abandonner pour ça ! ». Le choc est frontal. On savait que nos parents n’allaient pas sauter de joie à l’annonce de ce projet un peu fou, mais pas à ce point.
L’espace de quelques heures, nous nous demandons même si, finalement, ils n’ont pas raison. Si ce n’est pas un caprice de jeunes, occidentaux, nantis que nous sommes. Ne devrions-nous pas, plutôt que de penser à prendre du bon temps en voyageant, penser à des choses « sérieuses », aux trucs « importants » qui font la vie d’un adulte ? Avoir une belle carrière, une belle maison, une belle femme, de beaux enfants, une belle voiture,…
Nous reprenons bien vite nos esprits. Nous irons jusqu’au bout des choses ! Pour ne pas regretter de ne pas l’avoir fait. Pour vivre autre chose. Pour vivre, tout simplement, et ne pas s’emmerder. Parce qu’on n’a pas envie d’attendre. Attendre quoi d’ailleurs ?! Que les choses se présentent d’elles-mêmes, que les autres fassent des choix à notre place, que le métro-boulot-dodo se mette en place et nous oblige à oublier nos projets ? La vie est trop courte pour être petite. C’est maintenant ou beaucoup, beaucoup plus tard ! Ce n’est pas à 60 ans qu’on va entreprendre ce genre d’aventure… Quoique, ça se discute aussi ça !
Tout quitter pour voyager,
l’habitude n’est pas celle-là, dans notre milieu. Des gens
« normaux » font des études, trouvent un travail, se marient,
achètent une maison, font des enfants, achètent un chien, un chat, partent en
vacances,.... Mais pas plus d’un mois grand maximum ! Le cadre, le
quadrillage de la vie n’est pas fait pour en sortir. Beaucoup considèrent la
ligne toute tracée. Nous, nous tracerons notre route nous-mêmes. Nous
définirons seuls nos propres obligations. Et si c’était ça le luxe ?! Et si le
luxe c’était l’espace !? L’espace que l’on se crée mentalement. Lorsqu’on
ne s’enferme pas dans le cadre dessiné par soi-même ou par les autres… Il n’y a
que les poissons morts qui suivent le courant. Nous avons envie d’être en vie,
de suivre notre courant, notre route.
À force de motivation et de perspicacité, petit à petit, nous arrivons malgré tout à convaincre nos parents. Un travail de longe haleine. Car nous savons que nous avons besoin de leur soutien. Maintenant et quand nous serons à l’autre bout du monde. Notre moral en dépendra. Et c’est la clé pour aller au bout du chemin.
Se faire plaisir, c’est également ça qui sera une des clés. Et c’est avant tout ce qui a guidé notre démarche. C’est notre motivation principale. Nous roulerons dans des pays que nous avons envie de voir. On n’a pas envie de s’obliger à suivre un itinéraire dicté par tel ou tel « record » à battre. C’est notre cœur qui doit battre. Il battra physiquement, c’est sûr. Nous voulons aussi qu’il batte d’émotions. Car en choisissant le vélo, nous faisons le choix d’un voyage physique mais aussi d’un voyage de rencontres, de découvertes. « Chacun sa route, chacun son chemin » dit la chanson. « Chacun son voyage » aussi.
Le plaisir sera donc la pierre angulaire de l’aventure. Sans être une fuite de quoi que ce soit. Non, nous ne sommes pas mal dans notre peau. Aujourd’hui, partir sur « le long cours » signifie presque automatiquement la fuite de quelque chose, la fuite vers quelque chose. On ne peut pas entreprendre un tel défi sans être suspect. On est tellement bien chez nous ! Pourquoi ont-ils envie de voir le monde ? Est-ce normal d’être ainsi curieux de ce qui nous entoure ? Ce n’est plus normal d’être nomade, fût-ce même pour un temps seulement. Ce n’est pas normal de vouloir se faire mal ainsi. On doit être un marginal, être à côté des pompes de la société pour faire ça ! Forcément.
À force de motivation et de perspicacité, petit à petit, nous arrivons malgré tout à convaincre nos parents. Un travail de longe haleine. Car nous savons que nous avons besoin de leur soutien. Maintenant et quand nous serons à l’autre bout du monde. Notre moral en dépendra. Et c’est la clé pour aller au bout du chemin.
Se faire plaisir, c’est également ça qui sera une des clés. Et c’est avant tout ce qui a guidé notre démarche. C’est notre motivation principale. Nous roulerons dans des pays que nous avons envie de voir. On n’a pas envie de s’obliger à suivre un itinéraire dicté par tel ou tel « record » à battre. C’est notre cœur qui doit battre. Il battra physiquement, c’est sûr. Nous voulons aussi qu’il batte d’émotions. Car en choisissant le vélo, nous faisons le choix d’un voyage physique mais aussi d’un voyage de rencontres, de découvertes. « Chacun sa route, chacun son chemin » dit la chanson. « Chacun son voyage » aussi.
Le plaisir sera donc la pierre angulaire de l’aventure. Sans être une fuite de quoi que ce soit. Non, nous ne sommes pas mal dans notre peau. Aujourd’hui, partir sur « le long cours » signifie presque automatiquement la fuite de quelque chose, la fuite vers quelque chose. On ne peut pas entreprendre un tel défi sans être suspect. On est tellement bien chez nous ! Pourquoi ont-ils envie de voir le monde ? Est-ce normal d’être ainsi curieux de ce qui nous entoure ? Ce n’est plus normal d’être nomade, fût-ce même pour un temps seulement. Ce n’est pas normal de vouloir se faire mal ainsi. On doit être un marginal, être à côté des pompes de la société pour faire ça ! Forcément.
« Pourquoi
partir ? » se demandent les sceptiques et les surpris. La question
nous sera posée des dizaines et des dizaines de fois. « Pourquoi
pas ! » avons-nous envie de répondre. Est-ce si incongru d’être
curieux du monde, des gens qui nous entourent ? Le monde sera notre
terrain de jeux, de rencontres pendant près d’une année.
Aujourd’hui, il suffit d’allumer sa télé ou son ordinateur pour être connecté à la Terre entière, pour tout savoir sur ce monde qui nous entoure. Et pourtant, jamais le repli sur soi n’a été aussi intense. On communique, on met son profil Facebook à jour, on a des centaines d’amis sur la toile. Mais on n’ose adresser la parole à un quidam dans la rue pour demander son chemin. On a le GPS pour ça… La technologie nous rapproche ?! Elle nous éloigne, oui ! Pas de GPS pour nous. De bonnes vieilles cartes et puis surtout les gens que nous croiserons.
Mais au fait, pourquoi, pour qui faut-il se justifier ? « Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même », écrivait Nicolas Bouvier. On a envie d’effectuer ce voyage parce qu’on a envie de voyager. Point. Peut-être pour revenir un peu meilleur aussi. Parce que si nous faisons un voyage, c’est aussi et surtout le voyage qui nous fera.
La vie est trop courte pour être passive. « La fonction propre de l’homme est de vivre, non d’exister. Je ne perdrai pas mes jours à essayer de prolonger ma vie. Je veux brûler tout mon temps », nous enseigne Jack London.
Et puis surtout, comme le dit si bien Georges Brassens « Les braves gens n’aiment pas que l’on prenne une autre route qu’eux… »
Tout est dit.
Mais avant de partir, il faut construire notre projet. Il faut le préparer de manière consciencieuse, rigoureuse. C’est une autre clé de la réussite. Espérer le meilleur tout en se préparant au pire. Nous partons de rien. Notre expérience est inexistante. Nous sommes conscients de l’ampleur de la tâche. En être conscient et être prêt à relever le défi, c’est l’essentiel. Le reste suit.
Aujourd’hui, il suffit d’allumer sa télé ou son ordinateur pour être connecté à la Terre entière, pour tout savoir sur ce monde qui nous entoure. Et pourtant, jamais le repli sur soi n’a été aussi intense. On communique, on met son profil Facebook à jour, on a des centaines d’amis sur la toile. Mais on n’ose adresser la parole à un quidam dans la rue pour demander son chemin. On a le GPS pour ça… La technologie nous rapproche ?! Elle nous éloigne, oui ! Pas de GPS pour nous. De bonnes vieilles cartes et puis surtout les gens que nous croiserons.
Mais au fait, pourquoi, pour qui faut-il se justifier ? « Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit à lui-même », écrivait Nicolas Bouvier. On a envie d’effectuer ce voyage parce qu’on a envie de voyager. Point. Peut-être pour revenir un peu meilleur aussi. Parce que si nous faisons un voyage, c’est aussi et surtout le voyage qui nous fera.
La vie est trop courte pour être passive. « La fonction propre de l’homme est de vivre, non d’exister. Je ne perdrai pas mes jours à essayer de prolonger ma vie. Je veux brûler tout mon temps », nous enseigne Jack London.
Et puis surtout, comme le dit si bien Georges Brassens « Les braves gens n’aiment pas que l’on prenne une autre route qu’eux… »
Tout est dit.
Mais avant de partir, il faut construire notre projet. Il faut le préparer de manière consciencieuse, rigoureuse. C’est une autre clé de la réussite. Espérer le meilleur tout en se préparant au pire. Nous partons de rien. Notre expérience est inexistante. Nous sommes conscients de l’ampleur de la tâche. En être conscient et être prêt à relever le défi, c’est l’essentiel. Le reste suit.
Depuis plusieurs mois, notre
entreprise mûrit et se construit. Mentalement et physiquement. Nous avons
dévoré des bouquins de cyclos-voyageurs, nous connaissons tout des sites web
sur le sujet. Nous connaissons par cœur les catalogues de matériel pour ce
genre d’expédition.
On précise l’itinéraire tout d’abord. Aucun record. Que du plaisir. Après le « pourquoi partir » vient le « où partir ? » Choix difficile tant le monde est un vaste terrain de découverte qui ne demande qu’à être exploré. Voyager, c’est partir, partir quelque part, mais c’est aussi savoir rentrer chez soi. Nous ne voulons donc pas d’un voyage qui nous couperait trop longtemps de nos racines. Après de longues discussions, de nombreuses lectures, une intense réflexion, nous tombons d’accords. Notre itinéraire nous mènera de Namur à Dakar, de Buenos Aires à Lima, de Los Angeles à Québec et d’Amsterdam à Namur. La boucle sera ainsi bouclée.
Nous n’irons pas en Asie. Pourtant ce n’est pas l’envie qui nous manque. Nous faisons l’impasse, à contrecœur, notamment sur le Japon, le Népal, la Mongolie, le Bhoutan… Sur la Nouvelle-Zélande et l’Australie, entre de nombreux autres. Autant de pays qui nous tentent énormément. Autant de pays que nous ne visiterons pas tout de suite. Notre portefeuille n’est malheureusement pas extensible. Notre calendrier non plus. Et puis nous ne souhaitons pas partir trop longtemps et devenir ensuite des étrangers dans notre propre pays.
Nous voulons vivre. Mais vivre, c’est aussi choisir et donc renoncer. Nous devons donc faire une croix sur certains pays.
L’équipement ensuite… qu’il faut choisir avec la plus grande attention. Nos quelques sacoches seront tout ce qu’on aura pour vivre. Il faut donc bien choisir encore une fois. Ni trop, ni trop peu, ni trop lourd. Simple, solide, facile à réparer en cas de problème. Mike Horn, l’aventurier de l’extrême est notre maître en cela.
On précise l’itinéraire tout d’abord. Aucun record. Que du plaisir. Après le « pourquoi partir » vient le « où partir ? » Choix difficile tant le monde est un vaste terrain de découverte qui ne demande qu’à être exploré. Voyager, c’est partir, partir quelque part, mais c’est aussi savoir rentrer chez soi. Nous ne voulons donc pas d’un voyage qui nous couperait trop longtemps de nos racines. Après de longues discussions, de nombreuses lectures, une intense réflexion, nous tombons d’accords. Notre itinéraire nous mènera de Namur à Dakar, de Buenos Aires à Lima, de Los Angeles à Québec et d’Amsterdam à Namur. La boucle sera ainsi bouclée.
Nous n’irons pas en Asie. Pourtant ce n’est pas l’envie qui nous manque. Nous faisons l’impasse, à contrecœur, notamment sur le Japon, le Népal, la Mongolie, le Bhoutan… Sur la Nouvelle-Zélande et l’Australie, entre de nombreux autres. Autant de pays qui nous tentent énormément. Autant de pays que nous ne visiterons pas tout de suite. Notre portefeuille n’est malheureusement pas extensible. Notre calendrier non plus. Et puis nous ne souhaitons pas partir trop longtemps et devenir ensuite des étrangers dans notre propre pays.
Nous voulons vivre. Mais vivre, c’est aussi choisir et donc renoncer. Nous devons donc faire une croix sur certains pays.
L’équipement ensuite… qu’il faut choisir avec la plus grande attention. Nos quelques sacoches seront tout ce qu’on aura pour vivre. Il faut donc bien choisir encore une fois. Ni trop, ni trop peu, ni trop lourd. Simple, solide, facile à réparer en cas de problème. Mike Horn, l’aventurier de l’extrême est notre maître en cela.
Nous envoyons des centaines d’emails.
Aux grandes marques comme aux plus modestes. Nike, Reebok, Adidas, Eider,
Deuter,… Toutes, absolument toutes y passent. Et nous renvoient presque
invariablement la même réponse : « Votre projet est très intéressant.
Toutefois, il ne rentre pas dans le cadre de notre politique de sponsoring.
C’est donc avec regret que nous devons blablabla, blablabla blablabla... »
Nous ne nous décourageons pas pour autant. Bien au contraire. Tant et si bien que nous parvenons quand même à récolter quelques réponses positives. Nous enfonçons les portes et ça marche !
Lentement mais sûrement, les mois, les jours diminuent avant le grand départ. Quelques médias s’intéressent à nous. Les vélos et le matériel sont prêts. Le moral aussi. Le site Internet est en ligne. Tout roule. Pourvu que ça dure. Au propre comme au figuré.
Jour J : nous ne pouvons plus reculer. Malgré le léger doute qui nous habite, nous sommes confiants. Les amis, la famille, les proches sont là pour nous voir partir. Le soleil nous encourage et nous réchauffe le cœur. Il nous faut bien son aide. Il règne en bord de Meuse un petit air de vacances en ce 8 juillet. On dirait une fête de famille. L’émotion – et les larmes – sont bien là. Nous ne pensions pas que ce serait aussi difficile. Le cœur lourd, nous voyons nos parents serrer les dents et tenter d’afficher malgré tout un sourire de circonstance. Notre maman nous laisse partir difficilement. Notre papa est plus retenu mais a tout autant de mal. Comme nous…
Le jour du départ, nous ne savons pas de quoi demain sera fait. L’incertitude totale ne nous quittera pratiquement plus. Nous le savons. Nous le voulons. Nous ne sommes pas les premiers à tenter l’expérience. Et encore moins les derniers. Pour nous, l’essentiel est ailleurs. Parce que chaque voyage, aussi grand soit-il, commence par un petit pas, un petit coup de pédale. L’aventure commence ici, derrière la porte, dès que nous tournons le dos à notre « chez nous », au « connu », dès que nous larguons les amarres.
Nous ne nous décourageons pas pour autant. Bien au contraire. Tant et si bien que nous parvenons quand même à récolter quelques réponses positives. Nous enfonçons les portes et ça marche !
Lentement mais sûrement, les mois, les jours diminuent avant le grand départ. Quelques médias s’intéressent à nous. Les vélos et le matériel sont prêts. Le moral aussi. Le site Internet est en ligne. Tout roule. Pourvu que ça dure. Au propre comme au figuré.
Jour J : nous ne pouvons plus reculer. Malgré le léger doute qui nous habite, nous sommes confiants. Les amis, la famille, les proches sont là pour nous voir partir. Le soleil nous encourage et nous réchauffe le cœur. Il nous faut bien son aide. Il règne en bord de Meuse un petit air de vacances en ce 8 juillet. On dirait une fête de famille. L’émotion – et les larmes – sont bien là. Nous ne pensions pas que ce serait aussi difficile. Le cœur lourd, nous voyons nos parents serrer les dents et tenter d’afficher malgré tout un sourire de circonstance. Notre maman nous laisse partir difficilement. Notre papa est plus retenu mais a tout autant de mal. Comme nous…
Le jour du départ, nous ne savons pas de quoi demain sera fait. L’incertitude totale ne nous quittera pratiquement plus. Nous le savons. Nous le voulons. Nous ne sommes pas les premiers à tenter l’expérience. Et encore moins les derniers. Pour nous, l’essentiel est ailleurs. Parce que chaque voyage, aussi grand soit-il, commence par un petit pas, un petit coup de pédale. L’aventure commence ici, derrière la porte, dès que nous tournons le dos à notre « chez nous », au « connu », dès que nous larguons les amarres.
Nous n’aimons pas les
« au revoir ». Allons-nous revenir ? Quand ? Comment ?
Dans quel état (d’esprit) ? Allons-nous arriver au terme du projet ?
Sommes-nous bien préparés ? Sommes-nous prêts mentalement et physiquement ?
Après quelques mots de remerciements, nous donnons nos premiers coups de
pédale, nous laissons derrière nous notre famille et nos proches. Déjà une
épreuve en soi. Pendant les quelques kilomètres qui nous séparent de la France,
quelques amis nous accompagnent. Passée la frontière franco-belge, nous sommes
seuls. Ou presque. Notre ami Charles reste avec nous pendant la première
semaine. On sait que sa bonne humeur et son rire communicateur nous feront le
plus grand bien. Derrière ses petites lunettes rondes dorées, cet Harry Potter
blondinet, à la tête d’un éternel adolescent a plus d’un tour dans son sac pour
mettre de bonne humeur un régiment entier !
Maintenant, ça y est, c’est parti pour une année de nomadisme. Nous avons rendez-vous avec l’inconnu. Nous ne savons pas où nous dormirons ce soir. Ce sera comme ça pendant un an. Pendant un an, nous jouerons aux nomades. À faire et défaire chaque jour nos sacoches. Chaque jour, faire et défaire nos affaires. Ne pas s’attacher. Toujours avancer. Ce sera notre quotidien.
Notre aventure, nous allons essayer de vous la faire aimer comme nous l’avons aimée. L’histoire de ce voyage pas tout à fait comme les autres de deux personnes comme les autres commence ici… Avec une impossible objectivité mais une subjectivité honnête obligée.
Maintenant, ça y est, c’est parti pour une année de nomadisme. Nous avons rendez-vous avec l’inconnu. Nous ne savons pas où nous dormirons ce soir. Ce sera comme ça pendant un an. Pendant un an, nous jouerons aux nomades. À faire et défaire chaque jour nos sacoches. Chaque jour, faire et défaire nos affaires. Ne pas s’attacher. Toujours avancer. Ce sera notre quotidien.
Notre aventure, nous allons essayer de vous la faire aimer comme nous l’avons aimée. L’histoire de ce voyage pas tout à fait comme les autres de deux personnes comme les autres commence ici… Avec une impossible objectivité mais une subjectivité honnête obligée.
(Belga)
dimanche 15 janvier 2012
L'Oréal USA choisit PFSweb pour le lancement des boutiques en ligne de plusieurs marques
PLANO, Texas, le 4 janvier 2012– PFSweb, Inc. (Nasdaq: PFSW), un
fournisseur international de solutions e-commerce intégrées, a annoncé
aujourd'hui qu’un accord de cinq ans avait précédemment été conclu avec L'Oréal
USA, la filiale New Yorkaise de L'Oréal S.A., pour développer et gérer les
sites e-commerce de certaines des plus prestigieuses marques du groupe, leader
mondial dans l'industrie cosmétique.
Ce contrat a commencé en 2010 avec le lancement des sites e-commerce de quatre
marques de L'Oréal : Kiehl’s, Lancôme, Yves Saint Laurent Beauty et Giorgio
Armani Beauty et se poursuivra en 2012, par le lancement de deux marques
supplémentaires. PFSweb fournit à L’Oréal une solution logistique globale, un
service client ainsi que la gestion des transactions financières et des
services de marketing interactif.
"Nous avons choisi PFSweb pour leur expertise dans le secteur de la beauté
et de la cosmétique. Avec leur aide, nous pouvons offrir à nos clients des
solutions considérablement plus flexibles, fonctionnelles et efficaces," a
dit Daren Hull, le Vice-président de Luxe Direct, L'Oréal USA. "En
utilisant la solution e-commerce intégrée de PFSweb, nous pouvons personnaliser
les sites de chacune de nos marques et fournir à nos consommateurs une qualité
de service identique à celle rencontrée lors de l’achat de nos produits en
magasins. Nous allons utiliser l'expertise de PFSweb pour fournir à chaque
marque des programmes innovants et permettre une connexion directe avec nos
clients."
"Nous sommes ravis de travailler avec une société aussi prestigieuse que
L’Oréal et de soutenir la présence en ligne de ses marques. Cet
accord souligne notre capacité à créer des solutions e-commerce personnalisées
et à améliorer continuellement l’expérience client" commente Mike
Willoughby, Président de PFSweb, Inc.
A propos de L’Oréal
L'Oréal U.S.A., basé à New - York, réalise un chiffre d’affaires annuel qui
dépasse les 4,7 milliards de dollars et emploie 9 800 personnes. L’Oréal U.S.A.
est une filiale à 100% de L'Oréal SA, leader mondial des cosmétiques. En plus
de son siège à New -York, L’Oréal U.S.A. dispose d’installations de recherche
et innovation, de fabrication et de distribution réparties sur six autres Etats
des Etats-Unis (New Jersey, Kentucky, Arkansas, Illinois, Ohio et Texas).
L’impressionnant portefeuille de marques de L'Oréal comprend entre autres :
Lancôme, Giorgio Armani Beauty, Yves Saint Laurent Beauty, Viktor & Rolf,
Diesel, Cacharel, L'Oréal Paris, Garnier, Vichy, La Roche-Posay, L'Oréal
Professionnel, Kérastase et Shu Uemura Art of Hair. Les Etats-Unis sont la base
pour le développement de produits, le marketing international et la publicité
pour les douze marques américaines de L’Oréal : Maybelline New York,
Soft-Sheen.Carson, Kiehl’s Since 1851, Ralph Lauren Fragrances, Essie
Cosmetics, Redken 5th Avenue NYC, Matrix, Mizani, Pureology, SkinCeuticals et
Dermablend.
A propos de PFSweb
PFSweb fournit son expertise et son savoir-faire international aux entreprises
utilisant le Web pour commercialiser leurs produits. La solution End2End
eCommerce® de PFSweb comprend : une technologie e-commerce robuste
et à la pointe, des services de marketing interactif, des services de
logistique et distribution à l'échelle internationale, un service clients sur
mesure, une offre de services financiers dédiée au commerce électronique, ainsi
que des services de consultance.
Les marques phares font appel à PFSweb pour la mise en œuvre de leurs
stratégies en matière de commerce électronique. PFSweb compte parmi ses clients
des sociétés telles que Procter & Gamble, LEGO, Havaianas, O’Neill,
Carter’s, Clarins, Lucky Brand Jeans, kate spade new york, Juicy Couture,
Olympus, AAFES, Riverbed, Ricoh, Hawker Beechcraft Corp, Roots Canada Ltd.,
Salomon et Xerox. PFSweb est établi à Plano, Texas, et possède des filiales
dans le Tennessee, le Mississippi, au Canada, en Belgique et aux Philippines.
Pour en savoir plus sur PFSweb, veuillez consulter les sites web de l'entreprise sur http://www.pfsweb.com ou http://www.pfswebeurope.com.
jeudi 12 janvier 2012
www.Belgianbeer.com enfin aux mains des Belges
|
Création d’une Unité de prise en charge multidisciplinaire de l’hépatocarcinome
Une réunion scientifique
Actualités thérapeutiques de l’hépatocarcinome : aspect médical, éthique et
économique mercredi 11 janvier 2012 à 18h30 au Dolce de La Hulpe.
L’hépatocarcinome, ou cancer du foie, une
question de santé publique
L’hépatocarcinome
ou carcinome hépatocellulaire est une cause majeure de mortalité par cancer.
C’est la cause principale de mortalité chez les patients cirrhotiques. Son
incidence est présumée augmentée jusqu’en 2020 en raison des complications de
l’épidémie du virus de l’hépatite C et de l’augmentation des maladies
hépatiques dûe à l’obésité et au syndrome métabolique.
|
«
Stratégies » thérapeutiques complexes en évolution
La prise
en charge thérapeutique de l’hépatocarcinome est complexe ; la majorité des
hépatocarcinomes se développent en effet sur un foie cirrhotique. Il faut
tenir compte d’une part, de la maladie oncologique, et d’autre part, de la
maladie hépatique sous-jacente. Les traitements sont variés : transplantation
hépatique, résection chirurgicale et radiofréquence.
La
transplantation hépatique offre le meilleur résultat à long terme. Il traite
à la fois la maladie cancéreuse et la cirrhose sous-jacente. La
transplantation ne peut, néanmoins, être proposée qu’à des patients
présentant une tumeur peu avancée et en bon état général. Elle est par
ailleurs limitée par la carence d’organes.
Les
techniques chirurgicales autres que la transplantation sont contre-indiquées
chez certains patients avec une maladie hépatique sous-jacente avancée. Il existe
également des « stratégies » palliatives. Pour les tumeurs avancées
localement, la chimio-embolisation et plus récemment la radio-embolisation
sont des techniques qui améliorent la survie. Enfin, pour les cas très
avancés, le Nexavar® a démontré une prolongation de la survie des malades.
Ces différents traitements évolueront dans le futur, avec l’arrivée de
nouvelles molécules ou de combinaisons de plusieurs molécules. Ils
amélioreront le pronostic des malades avec une maladie avancée, mais
permettront également de combiner différentes « stratégies »
thérapeutiques.
Nécessité
d’une approche pluridisciplinaire
La prise
en charge diagnostique et thérapeutique de l’hépatocarcinome nécessite une
équipe pluridisciplinaire comprenant une équipe de transplantation hépatique,
une équipe chirurgicale spécialisée dans la chirurgie hépatique, une équipe
radiologique et de radiologie interventionnelle spécialisée dans l’imagerie
hépatique, des hépatologues et des oncologues. Ces différentes compétences
sont essentielles afin de proposer au patient le meilleur traitement adapté à
la fois à sa maladie oncologique et à sa maladie hépatique sous-jacente.
C’est
pourquoi, en tant que Centre de Transplantation hépatique de l’Université
libre de Bruxelles, le Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie,
d’Hépato-Pancréatologie et d’Oncologie digestive crée une Unité pluridisciplinaire
de prise en charge de l’hépatocarcinome. Elle comprend des
gastro-entérologues spécialisés en hépatologie et en oncologie, des
radiologues spécialisés en imagerie hépatique et des chirurgiens spécialisés
en chirurgie et transplantation hépatique.
Les
patients bénéficieront dans ce cadre de traitement par de nouvelles molécules
à l’étude dans le cadre de protocole de recherche clinique.
A cette
occasion, une réunion scientifique Actualités thérapeutiques de
l’hépatocarcinome : aspect médical, éthique et économique est organisée le
mercredi 11 janvier 2012 à 18h30 au Dolce de La Hulpe (Chaussée de Bruxelles,
135 - 1310 La Hulpe).
(Belga)
|
Gouvernement Rwandais:Les juges français dévoilent le rapport concernant le crash considéré comme déclencheur du génocide au Rwanda
Le gouvernement rwandais salue aujourd'hui le rapport des experts, commissionnés
par les juges français Marc Trévidic et Nathalie Poux, qui identifie le camp
militaire de Kanombe comme étant le site d'où ont été lancés les missiles
responsables du crash de l'avion du président Juvénal Habyarimana le 6 avril
1994.
L'avion fut abattu alors qu'il entamait sa descente vers l'aéroport
international de Kigali, de retour de Dar Es Salaam où s'était tenu un sommet
régional pour l'implémentation des accords de paix d'Arusha. Pour les principaux
planificateurs, ce crash a servi de prétexte dans le déclenchement d'un génocide
méticuleusement préparé contre les Tutsi du Rwanda.
Les résultats
d'aujourd'hui, constituent une justification sur la position longtemps soutenue
par le Rwanda concernant les circonstances dans lesquelles se sont déroulés les
événements d'avril 1994. Selon Louise Mushikiwabo, Ministre des Affaires
Etrangères et Porte-Parole du gouvernement rwandais: "Grâce à cette vérité
scientifiquement prouvée, les juges Trévidic et Poux enterrent enfin de manière
définitive les dix-sept ans de campagne de déni du génocide ou de
culpabilisation de ses victimes. Il est aujourd'hui clair que l'attentat contre
l'avion présidentiel était en réalité un coup d'état réalisé par les extrémistes
Hutu et leurs alliés qui contrôlaient alors le camp militaire de
Kanombe."
Pour le peuple rwandais, ce rapport est considéré comme
étant le résultat d'une enquête de haute qualité, commissionnée par des
magistrats français aux références impeccables et exécutée par des experts de
renommée mondiale. Il exonère, ainsi, ceux qui étaient accusés à tort de
l'attentat et apporte une fin définitive aux mensonges et aux théories du
complot qui ont, depuis trop longtemps, tenté d'éloigner l'attention mondiale
des réels responsables des crimes horribles perpétrés pendant le
génocide.
La ministre Mushikiwabo conclut: "les Rwandais saluent ces
résultats qui remettent enfin la lumière sur cet élément vital de l'histoire de
notre pays. Nous continuons, sans plus se relâcher ni se distraire, notre tâche
vitale de reconstruction de la nation pour les générations à venir."
(Belga)
mercredi 4 janvier 2012
SNC-Lavalin:Nouveau Vice-Président Directeur de SNC-Lavalin en Europe MONTRÉAL, January 4, 2012 /PRNewswire/ --
Pierre Duhaime a le plaisir
d'annoncer la nomination de Christian Jacqui au poste de vice-président
directeur des activités du Groupe en Europe. A compter du
2 janvier 2012, M. Jacqui succède à Jean Claude Pingat au poste de président de SNC-Lavalin en Europe et devient membre du Bureau du Président. Christian Jacqui poursuivra la stratégie de croissance de l'entreprise d'ingénierie‐construction, notamment dans le secteur des concessions, menée avec succès depuis de nombreuses années.
Dans ses nouvelles fonctions, M. Jacqui mettra à profit ses aptitudes démontrées à diriger des projets de grande envergure à l'international et à conduire une croissance profitable et durable. Son expérience diversifiée dans différents secteurs de l'ingénierie où SNC-Lavalin est déjà solidement implantée sur le marché européen contribuera sans aucun doute à l'atteinte des objectifs de développement de l'entreprise.
Ingénieur diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers, Christian Jacqui compte plus de 20 ans d'expérience en ingénierie, en gestion de projet et en direction d'entreprise sur la scène internationale, notamment en Europe et en Asie. Au cours de sa carrière, il a acquis une solide expertise dans les secteurs de l'énergie au sein de Séchilienne-Sidec et d'Areva, du transport chez Alstom et des infrastructures dans les sociétés Spie Batignolles et la Saur.
Par la même occasion, Jean Claude Pingat est nommé président d'honneur et fondateur Europe, un poste non exécutif dans lequel il apportera à Christian Jacqui sa grande connaissance des marchés européens et continuera à mettre au service de SNC-Lavalin plus de 40 ans d'expérience en ingénierie pour l'accompagner dans la poursuite de son développement.
SNC-Lavalin est l'un des plus importants groupes d'ingénierie et de construction au monde, et un acteur majeur en matière de propriété d'infrastructures et de services d'exploitation et d'entretien. SNC-Lavalin a des bureaux dans tout le Canada et dans plus de 40 autres pays, et travaille actuellement dans une centaine de pays. http://www.snclavalin.com
2 janvier 2012, M. Jacqui succède à Jean Claude Pingat au poste de président de SNC-Lavalin en Europe et devient membre du Bureau du Président. Christian Jacqui poursuivra la stratégie de croissance de l'entreprise d'ingénierie‐construction, notamment dans le secteur des concessions, menée avec succès depuis de nombreuses années.
Dans ses nouvelles fonctions, M. Jacqui mettra à profit ses aptitudes démontrées à diriger des projets de grande envergure à l'international et à conduire une croissance profitable et durable. Son expérience diversifiée dans différents secteurs de l'ingénierie où SNC-Lavalin est déjà solidement implantée sur le marché européen contribuera sans aucun doute à l'atteinte des objectifs de développement de l'entreprise.
Ingénieur diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers, Christian Jacqui compte plus de 20 ans d'expérience en ingénierie, en gestion de projet et en direction d'entreprise sur la scène internationale, notamment en Europe et en Asie. Au cours de sa carrière, il a acquis une solide expertise dans les secteurs de l'énergie au sein de Séchilienne-Sidec et d'Areva, du transport chez Alstom et des infrastructures dans les sociétés Spie Batignolles et la Saur.
Par la même occasion, Jean Claude Pingat est nommé président d'honneur et fondateur Europe, un poste non exécutif dans lequel il apportera à Christian Jacqui sa grande connaissance des marchés européens et continuera à mettre au service de SNC-Lavalin plus de 40 ans d'expérience en ingénierie pour l'accompagner dans la poursuite de son développement.
SNC-Lavalin est l'un des plus importants groupes d'ingénierie et de construction au monde, et un acteur majeur en matière de propriété d'infrastructures et de services d'exploitation et d'entretien. SNC-Lavalin a des bureaux dans tout le Canada et dans plus de 40 autres pays, et travaille actuellement dans une centaine de pays. http://www.snclavalin.com
(Belga)
3M rachète la division Office and Consumer Products de la firme Avery Dennison Corp.
Cette acquisition renforce la présence de 3M dans
les segments des fournitures de bureau, de l'école et des produits grand
public, et élargit la panoplie de grandes marques gérées par 3M.
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Communique de la presse
Zoeterwoude, Janvier 2011 ST. PAUL, Minnesota - le 3 janvier 2012 - Le groupe 3M a annoncé aujourd'hui avoir conclu un accord définitif pour l'acquisition de la division Office and Consumer Products (« OCP ») de la firme Avery Dennison Corp., cela pour un montant total de 550 millions de dollars, sous réserve des ajustements postérieurs à la clôture de la transaction. La division Office and Consumer Products d'Avery Dennison est l'un des principaux fournisseurs mondiaux de produits destinés aux bureaux, aux écoliers et aux étudiants, comme les étiquettes, les classeurs, les produits de présentation, d'archivage et d'indexation, les instruments d'écriture et autres produits pour l'organisation du bureau et de la maison. Cette division OCP possède aussi les marques Avery®, HI-LITERS®, et Marks-A-Lot® aux États-Unis, au Canada, en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs autres pays. Son chiffre d'affaires pour 2011 devrait atteindre 765 millions de dollars, pour un excédent brut d'exploitation de 95 millions de dollars. L'acquisition d'OCP permettra à 3M d'élargir son champ d'action et sa présence internationale dans les segments des fournitures de bureau et d'école et des produits de grande consommation. Maintenant que 3M et OCP feront cause commune, ils continueront à investir dans l'innovation des produits, la gestion des segments et l'analytique des affaires et de la chaîne d'approvisionnement, et ce dans le but d'offrir aux détaillants et consommateurs des produits de qualité supérieure et des expériences incomparables. « Cette acquisition vient compléter notre offre mondiale, qui comprend déjà nos marques emblématiques Post-it et Scotch, et nous permettra de mieux servir nos clients, qui bénéficieront d'une accélération de l'innovation en matière de produits », se réjouit Bill Smith, vice-président et directeur général de la division Offices Supplies de 3M. « De plus, OCP profitera des solides partenariats que 3M entretient de longue date avec ses clients à travers le monde. »
Se basant sur les principes comptables
généralement reconnus, 3M estime que son acquisition produira un bénéfice
dilué par action de 0,06 dollar au cours des 12 mois suivant la conclusion de
l'accord. En excluant les ajustements comptables afférents à l'acquisition et
les dépenses d'intégration attendues, 3M prévoit par ailleurs que
l'acquisition d'OCP permettra un bénéfice de 0,03 dollar par action dans la
même période.
OCP a son siège à Brea, en Californie, et emploie environ 3 000 personnes dans le monde. L'opération d'acquisition devrait pouvoir s'achever dans le courant du second semestre de 2012, sous réserve de la satisfaction des conditions de clôture d'usage et de l'obtention des approbations réglementaires. Déclarations de nature prospective Ce communiqué de presse contient des informations de nature prospective relatives aux résultats financiers, aux estimations et aux perspectives commerciales de 3M qui impliquent des risques et incertitudes non négligeables. La nature prospective de ces informations est reflétée par l'emploi de verbes tels que « anticiper », « estimer », « s'attendre », « projeter », « compter », « planifier », « croire », « vouloir », « viser », « prévoir » ou d'autres mots et expressions de sens apparenté utilisés pour évoquer toute future performance d'exploitation ou financière ou toute projection ou perspective commerciale. Les facteurs susceptibles d'être à l'origine de différences entre ces informations prospectives et les résultats réels sont les suivants : (1) un retard imprévu ou l'impossibilité de concrétiser l'acquisition d'OCP ;
(2) la conjoncture économique mondiale, la
situation des marchés financiers internationaux ou les autres facteurs dont
l'évolution est indépendante de la volonté de 3M, y compris les catastrophes
naturelles et autres pouvant affecter les activités de 3M ou de ses clients ;
(3) les notations de crédit de 3M et le coût de son capital ; (4) les conditions de concurrence et les préférences des clients ; (5) les taux de change des devises étrangères et les fluctuations de ces taux ; (6) la date de lancement et l'acceptation des nouvelles offres de produits ; (7) la disponibilité et le coût des composants, des composés, des matières premières et de l'énergie (y compris le pétrole, le gaz naturel et leurs dérivés) achetés, cette disponibilité et ce coût pouvant être influencés par toute pénurie, hausse de la demande ou interruption de l'approvisionnement (notamment en raison de catastrophes naturelles ou autres et de tout autre événement) ; (8) les effets des acquisitions, alliances stratégiques, désinvestissements et autres événements inhabituels résultant d'opérations de gestion de portefeuille ou d'autres stratégies d'entreprise évolutives, ou d'éventuelles restructurations organisationnelles ; (9) la réalisation de gains de productivité inférieurs aux estimations ; et (10) les procédures judiciaires, y compris les importantes évolutions de situations pouvant marquer les procédures légales et réglementaires décrites dans le formulaire 10-K du Rapport annuel de 3M correspondant à l'exercice clôturé au 31 décembre 2010 ainsi que dans le formulaire 10-Q de ses rapports trimestriels suivants (les « Rapports »).
À propos de 3M
3M est sans cesse en quête de nouvelles idées pour les transformer en milliers de produits ingénieux. Notre culture de collaboration créative donne ainsi lieu à un flux infini de technologies puissantes qui contribuent à faciliter la vie des utilisateurs. Entreprise innovante, 3M n'est pas au bout de ses inventions. Avec un chiffre d’affaires de 27 milliards de dollars, 3M emploie près de 80 000 personnes dans le monde entier et déploie ses activités dans plus de 65 pays. Pour obtenir de plus amples informations, veuillez consulter le site www.3M.be ou suivre les activités de 3M via 3MNews sur Twitter.
(Belga)
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mardi 3 janvier 2012
Test des sirènes ce jeudi 5 janvier
Le prochain test trimestriel du réseau des sirènes
électroniques sera effectué par le Centre de Crise du Service Public Fédéral
Intérieur, le jeudi 5 janvier 2012 entre 11h45 et 13h15.
En 2012, les tests sonores auront encore lieu les jeudis 5 avril, 5 juillet et 4 octobre. L’objectif des sirènes est d’alerter la population en cas de situation d’urgence. |
Réseau des sirènes toujours opérationnel Le réseau des sirènes géré par l’Intérieur est actuellement composé de 540 sirènes. Le réseau peut être utilisé pour alerter la population en cas de situation d’urgence. Les sirènes sont installées autour des sites nucléaires et des entreprises Seveso seuil haut. Lorsque vous entendez une sirène lors d’une situation d’urgence, le bon réflexe est de rentrer ou de rester à l’intérieur et de suivre les recommandations des autorités fournies notamment via les médias. Les sirènes sont régulièrement testées afin d’avoir la certitude qu’elles fonctionnent en situation d’urgence. Test des sirènes Un test silencieux est réalisé chaque jour, test que ne peut entendre l’oreille humaine. Tous les premiers jeudis du trimestre par contre, un test audible est réalisé. En 2012, les tests sonores auront encore lieu les jeudis 5 avril, 5 juillet et 4 octobre. Au moment de l’essai, la sirène diffusera un signal d’alerte. Il s’agit d’un son modulé strident qui est répété après une brève interruption. Elle diffusera ensuite un message oral dont le contenu sera «signal d’essai». Au moment du test, le signal d’alerte durera environ 1 minute. En situation réelle d’urgence, le signal d’alerte durera environ 3 minutes et peut également être répété plusieurs fois. La population pourra obtenir des informations sur ces essais via le numéro gratuit 0800-94 133 (du 2 au 6 janvier, de 8h30 à 16h). Les habitants pourront également faire part de leurs observations à alerte@ibz.fgov.be. Les sourds et malentendants peuvent s’inscrire via www.telecontact.be afin de recevoir un SMS d’alerte. Le résultat technique du test de sirènes sera disponible dans l’après-midi du 5 janvier sur www.centredecrise.be.
(Belga)
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