samedi 26 avril 2014

ORES victime de fraudes à l’énergie

Suite aux informations parues ce jour dans les éditions de Sud Presse à propos de l’enquête menée par le Parquet de Charleroi, ORES souhaite apporter des précisions et demande la rectification des erreurs publiées.
Le jeudi 24 avril, la Police de Charleroi a procédé à une perquisition dans les bureaux d’ORES situés à Montignies-sur-Sambre et à Gosselies, ainsi qu’au domicile d’un certain nombre de collaborateurs d’ORES, dans le cadre d’une instruction ouverte par madame Sylviane Pichuèque, juge d’instruction à Charleroi.

Ces collaborateurs ont été entendus dans les bureaux de la Police Judiciaire à Marcinelle.

ORES apporte sa collaboration pleine et entière à l’enquête. Notre entreprise a déposé plainte au pénal avec constitution de partie civile afin de garantir ses droits et de bénéficier de l’accès au dossier. 

Contrairement aux informations publiées ce jour par Sud Presse, aucun directeur, ni haut responsable d’ORES n’a été inculpé dans le cadre de cette enquête. Les personnes entendues par le services de Police n’appartiennent pas à la direction de l’entreprise ; il est exact qu’une personne occupant une fonction de cadre est concernée par l’enquête. 

Fernand Grifnée, administrateur délégué d’ORES : « Nous attendons de plus amples informations sur les faits reprochés avant toute action ou communication supplémentaire. Nous envisagerons d’éventuelles mesures à prendre dans ce contexte à l’aune de ces informations et de faits avérés. Il faut rappeler le principe de la présomption d’innocence, mais je tiens aussi à rassurer les clients en contact avec nos collaborateurs et nos services. En tant qu’entreprise de services d’utilité publique, ORES met un point d’honneur à faire vivre en son sein des valeurs de professionnalisme, de respect et donc d’intégrité. C’est un engagement à la fois collectif et individuel. Et chacun de nos collaborateurs se doit de le respecter dans l’exercice de son métier au quotidien.»
Belga