vendredi 25 mars 2011

Le salon IT dévoile les dernières tendances digitales

Les salons Infosecurity.be et Storage Expo BE ont fermé leurs portes jeudi soir après avoir accueilli 3.700 visiteurs, c’est-a-dire 400 de plus que l’an dernier. Ce salon professionnel IT de deux jours fut sans conteste un succès. Plus de 100 fournisseurs y ont présenté leurs toutes dernières techniques, produits et services dans le domaine du stockage et de la sécurité digitale des informations. Des experts nationaux et internationaux ont donné des éclairages sur les développements les plus importants dans le secteur de l’IT lors de séminaires qui ont fait salle comble.


Les nouveaux dangers dans le domaine de la protection IT 



La protection digitale est un sujet brûlant d’actualité. Il suffit de penser à la cyber-attaque dont a été victime la Commission européenne juste avant le dernier sommet européen de Bruxelles (24/03/2011). Ce sujet a été largement abordé lors de cet événement de deux jours. Les tendances les plus remarquées constituent les dangers liés aux réseaux sociaux, gadgets mobiles ainsi que le cloud computing.



Environ 4 millions de Belges utilisent Facebook. Sur ce réseau social ainsi que sur les nombreux autres qui existent, 
des informations confidentielles sont souvent traitées à la légère. Non seulement, cela pose, tant pour les personnes que pour les entreprises, la question de la réputation et du respect de la vie privée , mais en plus des cyber-attaques sont aujourd’hui possibles sur des profils d’utilisateurs bien définis. D’autre part, la « consumérisation » où l’utilisation fréquente de gadgets mobiles comme les iPhones et iPads dans l’univers professionnel, augmente encore plus ce risque au niveau de la sécurité. Des orateurs comme Mic Adam (Vanguard) et Bruno Schröder (Microsoft) ont insisté sur le fait qu’il était capital de faire prendre conscience de ces dangers aux employés et consommateurs. Des moyens simples, comme l’utilisation de mots de passe plus complexes ou la formulation d’accords sur l’utilisation des médias sociaux dans la sphère professionnelle, permettent déjà d’éviter beaucoup de problèmes.


Le cloud computing permet d’utiliser des logiciels via un réseau en ligne. Les programmes ne sont donc plus nécessaires sur l’ordinateur même. Il s’agit de quelque chose de très dangereux en ce qui concerne le hardware. Un serveur physique disparaît au profit d’un serveur virtuel. L’économie en termes de coûts et la flexibilité que cela représente ont été présentés au salon comme les principaux avantages de ce système. Des risques existent pourtant. Bart Preneel (KU Leuven) parle du problème du déplacement du contrôle. Un « cloud provider » peut ainsi devenir la cible d’un hacker, qui a donc directement accès aux données de multiples entreprises. C’est comme ça que des entreprises chinoises utilisant Google ou Gmail pour stocker leurs données, ont été bloquées par leur propre gouvernement…Les salons Infosecurity.be et Storage Expo BE ont fermé leurs portes jeudi soir après avoir accueilli 3.700 visiteurs, c’est-a-dire 400 de plus que l’an dernier. Ce salon professionnel IT de deux jours fut sans conteste un succès. Plus de 100 fournisseurs y ont présenté leurs toutes dernières techniques, produits et services dans le domaine du stockage et de la sécurité digitale des informations. Des experts nationaux et internationaux ont donné des éclairages sur les développements les plus importants dans le secteur de l’IT lors de séminaires qui ont fait salle comble.

Les nouveaux dangers dans le domaine de la protection IT 
La protection digitale est un sujet brûlant d’actualité. Il suffit de penser à la cyber-attaque dont a été victime la Commission européenne juste avant le dernier sommet européen de Bruxelles (24/03/2011). Ce sujet a été largement abordé lors de cet événement de deux jours. Les tendances les plus remarquées constituent les dangers liés aux réseaux sociaux, gadgets mobiles ainsi que le cloud computing.

Environ 4 millions de Belges utilisent Facebook. Sur ce réseau social ainsi que sur les nombreux autres qui existent, des informations confidentielles sont souvent traitées à la légère. Non seulement, cela pose, tant pour les personnes que pour les entreprises, la question de la réputation et du respect de la vie privée , mais en plus des cyber-attaques sont aujourd’hui possibles sur des profils d’utilisateurs bien définis. D’autre part, la « consumérisation » où l’utilisation fréquente de gadgets mobiles comme les iPhones et iPads dans l’univers professionnel, augmente encore plus ce risque au niveau de la sécurité. Des orateurs comme Mic Adam (Vanguard) et Bruno Schröder (Microsoft) ont insisté sur le fait qu’il était capital de faire prendre conscience de ces dangers aux employés et consommateurs. Des moyens simples, comme l’utilisation de mots de passe plus complexes ou la formulation d’accords sur l’utilisation des médias sociaux dans la sphère professionnelle, permettent déjà d’éviter beaucoup de problèmes.
Le cloud computing permet d’utiliser des logiciels via un réseau en ligne. Les programmes ne sont donc plus nécessaires sur l’ordinateur même. Il s’agit de quelque chose de très dangereux en ce qui concerne le hardware. Un serveur physique disparaît au profit d’un serveur virtuel. L’économie en termes de coûts et la flexibilité que cela représente ont été présentés au salon comme les principaux avantages de ce système. Des risques existent pourtant. Bart Preneel (KU Leuven) parle du problème du déplacement du contrôle. Un « cloud provider » peut ainsi devenir la cible d’un hacker, qui a donc directement accès aux données de multiples entreprises. C’est comme ça que des entreprises chinoises utilisant Google ou Gmail pour stocker leurs données, ont été bloquées par leur propre gouvernement…Les salons Infosecurity.be et Storage Expo BE ont fermé leurs portes jeudi soir après avoir accueilli 3.700 visiteurs, c’est-a-dire 400 de plus que l’an dernier. Ce salon professionnel IT de deux jours fut sans conteste un succès. Plus de 100 fournisseurs y ont présenté leurs toutes dernières techniques, produits et services dans le domaine du stockage et de la sécurité digitale des informations. Des experts nationaux et internationaux ont donné des éclairages sur les développements les plus importants dans le secteur de l’IT lors de séminaires qui ont fait salle comble.


Les nouveaux dangers dans le domaine de la protection IT 



La protection digitale est un sujet brûlant d’actualité. Il suffit de penser à la cyber-attaque dont a été victime la Commission européenne juste avant le dernier sommet européen de Bruxelles (24/03/2011). Ce sujet a été largement abordé lors de cet événement de deux jours. Les tendances les plus remarquées constituent les dangers liés aux réseaux sociaux, gadgets mobiles ainsi que le cloud computing.



Environ 4 millions de Belges utilisent Facebook. Sur ce réseau social ainsi que sur les nombreux autres qui existent, 

des informations confidentielles sont souvent traitées à la légère. Non seulement, cela pose, tant pour les personnes que pour les entreprises, la question de la réputation et du respect de la vie privée , mais en plus des cyber-attaques sont aujourd’hui possibles sur des profils d’utilisateurs bien définis. D’autre part, la « consumérisation » où l’utilisation fréquente de gadgets mobiles comme les iPhones et iPads dans l’univers professionnel, augmente encore plus ce risque au niveau de la sécurité. Des orateurs comme Mic Adam (Vanguard) et Bruno Schröder (Microsoft) ont insisté sur le fait qu’il était capital de faire prendre conscience de ces dangers aux employés et consommateurs. Des moyens simples, comme l’utilisation de mots de passe plus complexes ou la formulation d’accords sur l’utilisation des médias sociaux dans la sphère professionnelle, permettent déjà d’éviter beaucoup de problèmes.



Le cloud computing permet d’utiliser des logiciels via un réseau en ligne. Les programmes ne sont donc plus nécessaires sur l’ordinateur même. Il s’agit de quelque chose de très dangereux en ce qui concerne le hardware. Un serveur physique disparaît au profit d’un serveur virtuel. L’économie en termes de coûts et la flexibilité que cela représente ont été présentés au salon comme les principaux avantages de ce système. Des risques existent pourtant. Bart Preneel (KU Leuven) parle du problème du déplacement du contrôle. Un « cloud provider » peut ainsi devenir la cible d’un hacker, qui a donc directement accès aux données de multiples entreprises. C’est comme ça que des entreprises chinoises utilisant Google ou Gmail pour stocker leurs données, ont été bloquées par leur propre gouvernement…